Sunday, April 4, 2010

"Un Aller Simple" Didier van Cauwelaert

« J’ai commence dans la vie comme enfant trouve par erreur. » (p. 5) Avec cette phrase le roman de Didier van Cauwelaert « Un aller simple » commence. Cette phrase est intrigante et intéressante. La vie de « Ami6 » de race Citroën passe chez les Tsiganes. Aziz a reçu son nom en souvenir de seul survivant du véhicule. Il grandit dans la banlieue marseillaise, partage entre la culture gitane de sa famille d’adoption et les traditions arabes que son nom lui impose. « Je me trouvais donc à Marseille en qualité de Marocain provisoire, avec permis de séjour payable à chaque renouvellement. » (p. 8) Il est désespéré parce qu’il ne sais pas ses origines. « Moi je suis là et je me tais. Je hoche la tête, par respect ; j’ai l’esprit ailleurs. Je n’aime pas d’où viennent les autres. Je veux bien être sans histoire, à part l’Ami 6, mais ça me fait mal d’être. » (p 10) Il y a une personne dans sa vie qui était triste quand Aziz a quitté l'école « parce que j’avais l’envie d’apprendre » M. Giraudy, le professeur de géographie, l’a donné un atlas qui s’appelait Légendes du monde.(p. 11) Cet atlas est une espoir pour Aziz, ou comme il dit « et peu à peu, je crois, le vieux livre rouge et or, tout corne, tout effiloche d’avoir été si lu, devenait mon vrai pays, mon pays d’origine. » (p. 17) à grâce du gouvernement de la France il a chance d’aller son pays d’origine accompagné avec l’attache humanitaire. Mais il n’est pas marocaine, il n’est pas gitan, alors qui est il ? Quelles sont ses racines ? Ces questions deviennent plus importantes pour lui et en cherchant des réponses il commence un voyage incroyable avec deux gens qui sont perdus dans la vie aussi. Ce roman est poignant et intéressant avec un fin triste à mon avis, mais je me suis amusée beaucoup.

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