Tuesday, April 6, 2010

Le theme de l'amour dans L' Amant

Nous sommes tous unanimes que si on devait classifier les thèmes par ordre croissant, le thème de l’amour occuperait le sommet. Qu’est-ce que l’amour? L’amour selon le dictionnaire français désigne un sentiment d’affection et d’attachement envers un être ou une chose, qui pousse ceux qui le ressentent a rechercher une proximité, pouvant être physique, spirituelle ou même imaginaire, avec l’objet de cet amour, et a adopter un comportement particulier (plus ou moins…)
A l’image de beaucoup d’écrivains, Duras, dans l’Amant, traite le thème de l’amour avec particularité est cher a tout individu, chaque jour des milliers gens à travers le monde, quelque soit leur classe d’âge: hommes, femmes et jeunes conjuguent le verbe aimer différemment selon les relations avec la personne. Cette thèse s’applique bien au roman de Duras dans lequel, ce thème est vue sous plusieurs aspects et varient énormément selon les relations des personnages. Duras aborde cette question en le plaçant au cœur de son livre toutefois elle donne plusieurs formes d’amour dans son œuvre.
De prime abord le chinois et la narratrice sont deux personnages, de cultures et de réalités différentes nouent une relation amoureuse ou ils trouvent leur épanouissement dans la jouissance sexuelle. Cette dimension charnelle de l’amour intéresse l’écrivaine à tel point que le personnage féminin de Duras éprouve des douleurs pendant l’acte sexuel. Conséquemment, on voit que cet amour est basé d’une part sur des échanges sexuels et le désir d'une relation intense. Il y a sans doute, la réciprocité de leur amour cependant leurs motivations sont diamétralement opposées pour preuve Duras crée deux catégories de personnages qui ont plusieurs différences comme l’illustre la série d’exemples dans l’Amant : l‘âge, le statut social, les expériences. La preuve irréfutable la jeune fille est séduite par l’exotisme du chinois et s’intéresse au matériel tandis que le chinois en réalité, il n’a que des tendances sexuelles. Toutefois, la jeune fille à travers les rapports exprime sa féminité par contre le chinois affirme sa masculinité. Par delà, de cet aspect, ils symbolisent la liberté en ce sens que de prime abord ils sont tous des célibataires, ils s’aiment, s’attachent et éprouvent les mêmes sentiments : la joie, le désir, la tendresse et l’attrait.
Totalement différent de l’amour romantique, l’amour filial existe entre la mère et son fils. Il traduit l’affection qui les lie d’où l’attachement du premier a ce dernier et malgré les défauts du fils aîné par rapport aux autres enfants, elle le préfère, l’aime et le protège. Donc on voit que la mère aime intensément son fils ainé. Ici Duras met l’accent sur la relation mère et fils: ces deux personnes sont liées par le cordon ombilical et il serait vraiment ingrat de la part de la mère de ne pas aimer en dépit de toutes les souffrances qu’elle a subies. Cette thèse durassienne s’applique bien à la vie de tous les jours partout on voit des femmes, des mères qui protègent leurs enfants. Cette mère aurait pu ne pas attacher beaucoup d’amours à son fils mais elle le fait par devoir moral.
Nous décelons
A l’image du titre du roman, le verbe Aimer demeure constant dans cette œuvre, a la différence de ces deux différentes amours abordées précédemment, on peut affirmer avec certitude que la narratrice éprouve de l’amour pour Hellène Lagonnelle car le corps de cette dernière lui procure le bonheur, l’attrait, le désir. C’est ce corps d’Hélène Lagonnelle incomparable …Rien n’est plus extraordinaire que cette rotondité extérieure de seins90
De plus dans l’œuvre, il y a l’amour entre le personnage principal du roman et son petit frère. Cela s’explique par le fait que ces deux personnes partagent le même sang, la même mère et de même père. Donc ils sont unis par beaucoup de choses et en plus de cela, ils ont partage des moments de joies ensembles : On était des enfants rieurs, mon petit frère et moi, rien a perdre le souffle, la vie 78. Plus loin, le personnage principal affirme que : Qu’il m’embrassait comme il m’aimait très fort71

En somme, dans cette œuvre Duras met l’accent sur le thème de l’amour pour montrer les différentes formes d’amour qui




WWW.LE-DICTIONNAIRE.COM

La quête de l'identité dans Un aller simple

En lisant Un aller simple, je me demandais pourquoi Van Cauwelaert avait choisi Aziz, ‘un marseillais de cœur, d’accent et de naissance’ (p45) pour véhiculer son message qui pour moi porte sur la signification et l’importance de l’identité.
Aziz, un enfant volé (donc sans repères avec des racines inconnues) et Jean Pierre un attaché humanitaire qui a renié ses racines sont deux personnages principales qui à première vue sont très différents et pourtant leurs deux identités vont fusionner pour ne faire qu’une à la fin du roman.
Alors en quoi est-ce que ces deux personnages sont-ils différents ?
Aziz ne connait pas ses parents et pendant toute son enfance, il rêve de les voir enfin. Pendant toute sa vie parmi les Roms, Aziz a des problèmes d’intégration. Il a grandi parmi les gitans mais c’est évident qu’il est un intrus dans cette communauté. Il se fait une fausse carte d'identité marocaine, peut être parce qu’il veut rester neutre ou peut-être parce que les Tsiganes n’ont pas de nationalité (ce qui m’emmène à demander si les Tsiganes ont une identité car au 1er jour de la classe, on avait défini la nationalité comme importante pour l’identité). Donc Aziz vit chez les Tsiganes avec une carte d’identité marocaine et ne choisit pas son camp quand les Beurs et les Tsiganes se rencontrent. Il n’est pas vu comme un des membres de la communauté non plus car les frères Lila ne veulent pas la voir mariée à lui. Ce qui m’emmène à dire que Aziz n’est que toléré dans la communauté où il vit.
Jean-Pierre a lui renié ses origines qui lui faisait trop honte. En ayant abandonné son village natal, il perd ses repères et ses rêves aussi, d’où son acharnement à vouloir coûte que coûte retrouver Irghiz, une vallée dont Aziz se réclame, même si Jean-Pierre sait que Irghiz n’existe pas ou du moins pas comme Aziz le décrit.
Irghiz devient comme un bout de rêve que les deux personnages se partagent. Née dans l’imagination d’Aziz, cette vallée imaginaire va prendre forme dans les écritures de Jean-Pierre. Si Irghiz donne à Aziz le sentiment d’avoir un chez-soi, il redonne à Jean-Pierre le goût de rêver, de réécrire, de retrouver un amour perdu.
L’imagination et la volonté mènent les deux protagonistes à retrouver l’un son village natal, l’autre sa vallée imaginaire avec ‘ses platanes, ses pins souterrains et ses chevaux de la préhistoire’ (p169).
Alors où se trouve vraiment les racines et qu’est ce qui fait l’identité ?
Il a fallu à Jean- Pierre d’aller jusqu’au Maroc pour retrouver ses racines et se réconcilier avec son passé qui se trouve en France.
Pour Aziz, il a fallu que quelqu’un croit en son histoire (qui n’est qu’une pure invention de sa fantaisie) pour qu’il ait enfin un foyer (à la fin du livre, il vit dans l’ancienne chambre de Jean-Pierre, chez ses parents).
L’écriture est aussi un moyen de retrouver son identité. Il donne à Jean-Pierre l’occasion de rêver et de se rappeler qui il est vraiment. L’importance de l’écriture, Aziz l’a aussi comprit et c’est pourquoi il ne continue d’écrire l’histoire qu’a commencé Jean-Pierre, histoire qui raconte leur destin si différent et pourtant si identique.

Aziz et les ROMS

D'identité est importante dans "Un Aller Simple, en particulier pour Aziz. Aziz n'a pas vraiment d'un patrimoine ou même un vrai nom. Il est élevé par des ROMS, dans une famille qui n'était pas vraiment le sien. Il a été pris en charge, mais jamais vraiment respecté. Il n'avait pas la famille qu'il aurait dû avoir. Il ne grandit dans une culture fascinante. Il a grandi avec les ROMS. Les ROM est venu d'Inde et se sont installés dans toute l'Europe. Ils ont apporté leur culture avec leur contenu. Ils suivre les lois religieuses hindoues, mais ne sont pas hindous. Ils sont surtout connus pour leur amour de la musique, dont ils utilisent la musique pour gagner de l'argent et juste passer un bon moment. Ils ont créé un genre de musique en Europe, appelé "jazz tsigane". Ils peuvent parfois être considéré comme une nuisance dans les zones qu'ils ont installés, mais ils ont aussi contribué à les façonner. Aziz a été immergé dans cette culture, sans jamais appartenir. Il a appris à être un voleur et voleur à la tire. Aziz est un personnage intéressant. Il est un homme sans identité.

L’identité d’Aziz et Moi

Je pense qu’Aziz a lutté avec son identité. Il ne pourrait pas contrôler la situation dans laquelle il a été jeté. Il était volé avec une voiture. Il était élevé par les roms avec les papiers d’un arabe mais il n’est ni l’un ni l’autre. Quand le gouvernement français a exclu Aziz, Aziz est devenue marocain. Il a crée son identité d’un Irghiz mais ce n’est pas un existence vrai et il est perdu. Ce livre m'a incité à penser de mon identité. Je pense que beaucoup de mon identité est affecté par mon environnement mais seulement l’identité que je partage avec les autres. Je sauve mon identité vrai pour moi-même et peu d’autres. Je pense que famille, lieu, et éducation a influencé mon identité la plus mais je l’ai crée.

Monday, April 5, 2010

Un Aller Simple

Un Aller Simple a beaucoup de stéréotypes pour les immigres particulièrement les immigres viennent d’Afrique du Nord. Il utilise l’histoire d’Aziz de montrer les tensions entre les Français et Les Africains du Nord. Le titre est la première chose qui indique un problème. C’est traduit comme « A One Way Ticket » en anglais. C’est une expression n’est pas bonne. Quand tu n’aimes pas une personne, tu veux donner un aller simple. Je pense que Didier Van Cauwelaert utilise ce titre pour décrire les émotions de gouvernement et les gens français. Un autre stéréotype est Les Africains de Nord volent toutes les choses. Aziz vole des voitures pour gagner sa vie. Ce n’est pas une explication pourquoi il vole des choses. C’est un travail normal pour un immigre d’âpres les Français. À mon avis, Didier Van Cauwelaert n’explique pas la vie d’Aziz parce qu’il est facile de croire sans une passée qu’il vole les choses. C’est simplement parce qu’il est un immigre. Le prochain stéréotype est la vie des romanos. La peinture des romanos ne sont pas bons dans l’histoire. Il y a beaucoup de stéréotypes. Ils volent les autos pour gagner sa vie. De plus, ils volent un grand nombre des autos parce qu’il y a des spécialistes dans les autos spécifiques. J’ai l’impression que les romanos vivent dans un village ensemble où beaucoup d’étrangers n’acceptent pas. Par exemple, Aziz n’accepte pas par les frères de Lila parce qu’il n’est pas un romano. Didier Van Cauwelaert écrit Un Aller Simple parce qu’il peut montrer les stéréotypes des immigres et le système par le gouvernement sont stupides. Il écrit très sérieux l’histoire d’Aziz sans beaucoup de politiques, mais il dit les choses importants sous lignes de l’histoire. Quand un lecteur lit l’histoire, on pense que c’est une fabrication. On pense que le système est ridicule et on connait les stéréotypes ne sont pas vrais. Didier Van Cauwelaert lance les stéréotypes des immigres dans les visages des gens. Le titre dit les opinions des Français envers les immigres clairement. L’histoire d’Aziz montre la stupidité du système français pour les immigres et les stéréotypes des Français pour les immigres.

Sunday, April 4, 2010

"Un Aller Simple" Didier van Cauwelaert

« J’ai commence dans la vie comme enfant trouve par erreur. » (p. 5) Avec cette phrase le roman de Didier van Cauwelaert « Un aller simple » commence. Cette phrase est intrigante et intéressante. La vie de « Ami6 » de race Citroën passe chez les Tsiganes. Aziz a reçu son nom en souvenir de seul survivant du véhicule. Il grandit dans la banlieue marseillaise, partage entre la culture gitane de sa famille d’adoption et les traditions arabes que son nom lui impose. « Je me trouvais donc à Marseille en qualité de Marocain provisoire, avec permis de séjour payable à chaque renouvellement. » (p. 8) Il est désespéré parce qu’il ne sais pas ses origines. « Moi je suis là et je me tais. Je hoche la tête, par respect ; j’ai l’esprit ailleurs. Je n’aime pas d’où viennent les autres. Je veux bien être sans histoire, à part l’Ami 6, mais ça me fait mal d’être. » (p 10) Il y a une personne dans sa vie qui était triste quand Aziz a quitté l'école « parce que j’avais l’envie d’apprendre » M. Giraudy, le professeur de géographie, l’a donné un atlas qui s’appelait Légendes du monde.(p. 11) Cet atlas est une espoir pour Aziz, ou comme il dit « et peu à peu, je crois, le vieux livre rouge et or, tout corne, tout effiloche d’avoir été si lu, devenait mon vrai pays, mon pays d’origine. » (p. 17) à grâce du gouvernement de la France il a chance d’aller son pays d’origine accompagné avec l’attache humanitaire. Mais il n’est pas marocaine, il n’est pas gitan, alors qui est il ? Quelles sont ses racines ? Ces questions deviennent plus importantes pour lui et en cherchant des réponses il commence un voyage incroyable avec deux gens qui sont perdus dans la vie aussi. Ce roman est poignant et intéressant avec un fin triste à mon avis, mais je me suis amusée beaucoup.

Saturday, April 3, 2010

Denise

En continuant mon analyse des femmes dans Le sang des autres, j’arrive enfin à Denise, la femme de Marcel. Je trouve que Beauvoir utilise Denise (comme toutes les femmes dans le livre), pour montrer la situation des femmes dans la société au lecteur. Dans l’histoire de Denise on trouve des aspects de ce que Beauvoir pense des femmes, et du mariage. Au début, on voit Denise comme une jeune fille avec la joie de vivre, qui est passionnée et qui n’a pas peur de travailler pour ce qu’elle veut. Elle « aime les valeurs sûres » (Beauvoir 81), et elle en trouve chez Marcel, parce qu’il est doué comme peintre. Alors, quand elle décide d’être avec Marcel, elle le poursuit, jusqu’à ce qu’ils se marient. Là, on voit une similarité avec Hélène, qui poursuit Jean dans la même façon. Pourtant, bien Denise réussit à avoir l’homme qu’elle veut, ça ne se passe pas bien pour elle. Une fois mariée à son peintre doué, elle se retrouve complètement à la merci de ses envies à lui. Quand il ne fait plus des peintures, et ils deviennent pauvres, elle ne peut pas changer cela, et quand il ne fait plus rien du tout avec sa vie, elle ne peut rien non plus. Cette femme qui avait tant d’envie de faire des choses dans le monde se trouve inutile, toujours en train de se noyer dans les problèmes de Marcel. Je crois que cette image nous montre l’avis de Beauvoir sur le mariage. Elle a dit, « dans la société telle qu’elle est, la femme est plus ou moins la servante de l’homme. » Bien que Marcel ne veuille aucun mal à Denise, on voit que sa vie à elle tourne autour de lui, et qu’elle ne peut rien faire à cause de ses caprices. En la décrivant, Jean dit qu’elle est, « Loyale, intelligente, courageuse. Mais une secrète disgrâce rendait vaines toutes ces vertus » (Beauvoir 82). Je crois que d’après Beauvoir, c’est le fait qu’elle s’est mariée, et qu’elle n’est rien sans Marcel, qui l’a rend inutile.

Thursday, March 25, 2010

Le nouveau roman

Dans notre classe, nous avons appris sur le nouveau roman - c'est une partie de la classe que j'ai vraiment apprécié. En fait, cette section était probablement ma préférée. Alors, qu'est-ce c'est le nouveau roman ? Y a-t-il certaines caractéristiques que nous devrions remarquer ou noter à propos du nouveau roman ? Quels types d'exemples peut-on utiliser ? Toutes cettes questions sont très importantes dans la compréhension des textes de la littérature contemporaine.

Alors - le nouveau roman. C'est un type de roman qui utilise les déscriptions de l'environnement dans l'histoire pour décrire les personnages. Les personnages sont soumis à leur environnement. On découvre dans ces détails comment les personnages se comportent, comment ils sont, comment ils pensent, etc. Alors ces détails sont très importants pour les faire attentions.

Maintenant, où peut-on voir ces détails dans les histoires ? Il y a quelques exemples qu'on peut utiliser dans des textes pour expliquer cette déscription du nouveau roman ? Mais oui, il y a beaucoup des exemples dans les romans de Robbe-Grillet, Duras, Blanchot, Kafka, etc. Mais je voudrais utiliser le roman Les Gommes par Robbe-Grillet et L'Amant par Duras parce que nous les avons lus dans notre classe.

Entre les deux romans, il y a beaucoup de similitudes et beaucoup de différences. Dans Les Gommes, Robbe-Grillet utilise le temps pour décrire l'air des personnages. Il fait très froid à cause d'hiver. Il niege beaucoup. Mais comment cela nous dire ce que les personnages sont comme ? C'est simple. Comme le temps, les personnages sont froids et indifférent les uns des autres. Comme le mystère, tout le monde a quelque chose à cacher. L'ambience est sombre. Tout est gris. L'histoire entière est comme ça. Mais dans L'Amant, le temps est completement différent. Il fait très chaud et humide. Dans l'histoire, il y a beaucoup de problèmes entre les personnages. Le frère aîné a la tête chaud, il est très méchant, il aime se battre avec sa famille, etc. La relation entre le chinois et la narratrice est intense et plein de désir, mais c'est tous. Il n'y a rien plus entre les deux sauf leur amour et passion.

Ces exemples ne sont qu'un des nombreux. Quel type d'exemples peut-on trouver ?

Tuesday, March 23, 2010

Le theme de l'opposition dans Les Gommes et L'Amant

Les Gommes et l’Amant sont deux œuvres des écrivains du Nouveau Roman. Ils mettent l’accent sur l’opposition de plusieurs thèmes.
Deux œuvres, deux auteurs, de sexe différent, ces deux auteurs peignent avec insistance le présent et le passé .Ce présent n’est-il pas dans Les Gommes la situation d’insécurité qui prévaut dans la ville. Il est le résultat de beaucoup de meurtres entre autres M. Dupont, Pauline. Les crimes crapuleux se sont accrus dans la ville installant une psychose. Paradoxalement, c’est la raison pour laquelle Alain Robbe-Grillet prend soin d’exposer le passé pour souligner l’extrême disparité car la ville était un havre de paix où les honnêtes citoyens menaient une vie paisible mais maintenant elle devient le théâtre de plusieurs crimes. Il y a eu régulièrement depuis neuf jours, un assassinat par jour et chaque jour entre sept et huit heures du soir 34
Parallèlement à Robbe-Grillet, Marguerite Duras abonde dans le même sens, elle place le présent au cœur de son roman les questions fondamentales plus particulièrement la famille de la narratrice qui est tenaillée par la pauvreté. Il résulte de cette situation le chômage de ses deux frères et la prostitution de la narratrice. La prostitution de la jeune fille montre qu’elle est intéressée par le matériel tandis que son amant le chinois est à la quête d’une jouissance sexuelle. Donc deux personnes différentes qui n’ont pas les mêmes motivations, le même statut social…
Dans le même sillage, elle mentionne la vie du jeune homme quand il était en France: ses études, ses aventures avec les femmes et sa déchéance. Contrairement à cela elle met l’accent sur les aventures amoureuses entre le chinois et la narratrice pour souligner le présent. Elle explore aussi le passé du père du chinois pour fouiller les origines de sa richesse.
De plus, dans ces deux romans, il y a une confrontation entre la jeunesse et la vieillesse. Dès la première page de L’Amant, par un paradoxe, Marguerite Duras décrit que la jeunesse est inhérente à la vieillesse. Par le biais d’une rétrospective, elle précise que la narratrice qui regorgeait des qualités esthétiques Tout le monde dit que vous étiez belle quand vous étiez jeune.9. En même temps, Duras fait une description physique du personnage principal une manière de montrer les traits saillants de la vieillesse J’ai un visage lacéré de rides sèches et profondes a la peau cassée.10 La vieillesse est incarnée par Madame Smite et Daniel Dupont.
L’absurdité dans L’Amant s’explique d’une part par le comportement irrationnel des deux amants et leur désir ardent à la quête de la jouissance sexuelle. Ce renversement brutal des valeurs morales a un impact négatif certain sur la vie de la narratrice mais aussi sur celle de la ville. Elle souligne l’extrême disparité entre l’absurdité et la vérité. La mère symbolise la vérité et la fille incarne l’absurdité Elle me tuera si elle apprend la vérité 55.
Dans ce même sillage, dans Les Gommes, les crimes et les comportements des différents personnages justifient l’absurdité particulièrement les allégations fausses du docteur Juard soulignent l’absurdité car pire il fait une usurpation de fonction : Je suis chirurgien, j’ai pratiqué beaucoup d’opérations 81. De plus, il n’a aucun respect pour l’éthique et la déontologie : Je l’ai opéré immédiatement 81. Il résulte de cette absurdité, la transgression de l’ordre sociétal par les personnages qui incarnent la liberté. Cela s’explique par le rapport sexuel entre le chinois et la narratrice dans L’Amant mais aussi par le comportement de Garinati et celui du docteur Juard. Paradoxalement à la narratrice, la mère a des qualités morales La mère n’a pas connu de jouissance 50 tandis que la fille a transgressé. Dans cette optique la maman représente la morale par contre la fille ne respecte pas les principes fondamentaux de sa société.
Le thème de la mort et de la vie reviennent sans cesse dans les deux œuvres avec les différents assassinats dans Les Gommes mais également la mort de Betty Fernandez, la mort du petit frère et le père de la narratrice dans L’Amant. Malgré, cette tristesse la vie continue dans la ville : C’est une ville de plaisir 55. De même, l’auteur fait une description détaillée du bateau pour montrer l’opposition, la disparité entre le mariage et la mort.

les contradictions dans L'Amant

L’Amant raconte la vie d’une jeune fille blanche d’une colonie française et de sa romance avec un jeune et riche chinois.
Tel le déroulement d’un film, la narration du livre est basée sur des images engravées dans la mémoire de la narratrice.
En parcourant le livre, on voit qu’il y a beaucoup de contradictions dans l’histoire.
L’amant de la jeune fille est présenté comme un homme sophistiqué, qui a de l’expérience avec les femmes en générale. Pourtant, il est très intimidé par la sa jeune amante. On pourrait argumenter qu’il est intimidé parce que la fille est blanche mais d’après le texte, le chinois a déjà eu des rapports avec ‘les adorables parisiennes’ (p. 45) qui sont elles aussi des femmes blanches.
L’amant est également décrit comme un homme mur. Donc dans les normes, il devrait être attiré par les jeunes femmes de son âge. Pourtant, c’est les traits enfantins de la jeune fille qui l’attire.
La mère de la narratrice l’encourage à s’habiller indécemment, à accepter l’argent des hommes et va jusqu’à demander à ses surveillantes de la laisser sortir comme elle veut et de ne pas la contrôler. D’aucun pourrait dire qu’elle encourage son enfant dans la débauche en tolérant voire encourageant son comportement on ne peut plus scandaleux, et pourtant, elle l’a bat quand elle la soupçonne de s’être donner à un homme.
La famille de la narratrice n’aime pas le chinois mais elle se fait quand même invité par lui, mange de sa poche, tout en l’ignorant et le dédaignant.
L’amant sait que la famille de la jeune fille ne l’aime pas et n’approuve pas sa relation avec la narratrice, pourtant il continue à les inviter. Dès le début de leur relation, il dit qu’il sait qu’il ne sera jamais heureux avec la jeune fille, et pourtant cela ne l’empêche pas de continuer cette relation qui le fait pleurer bien dès fois.
La narratrice peint son frère l’ainé sous un mauvais jour, tel un vaurien. Mais on ne sait pas vraiment comment est le frère aîné vu que son histoire nous a été racontée par un personnage biaisé.
La mère ne dit que de bonnes choses sur le frère aîné en qui il ne voit que des qualités, donc pourquoi ne pas penser que le frère a quelques qualités ?
Je pense qu’il est plus facile de se faire une opinion sur la narratrice car c’est elle qui transgresse constamment. Les jeunes filles de son internat et même ses propres cousines ont reçu l’ordre de ne pas lui parler car elle n’est pas une modèle de jeune fille.
Elle dit aussi que son frère est un assassin mais il lui arrive à elle aussi d’avoir des envies de meurtre.
En bref, le fil de l’histoire de L’Amant n’est pas facile à suivre car elle n’est pas racontée d’une façon linéaire et il y a des contradictions et des images pas très nettes.
L’image est un thème constant dans L’Amant. La première chose dont on parle dans le livre, c’est de l’image d’une femme qui a beaucoup changé avec le temps. D’autres images continuent de défiler à travers les pages du livre et servent de repère à l’auteur pour dérouler sa narration.

Duras et amour

Marguerite Duras était une femme qui aimait l'amour. Quand elle était très jeune, elle est tombée amoureuse avec un chinois. Je pense qu’elle a trouvé ses idées pour les romans parce que cette amour. Un thème des romans est amour entre deux personnes de races différent. Ceci était important car il était tabou à l’époque. Les romans que Duras a écrits sont très graphiques quand il y a une scène sexuelle, mais pour Duras, c’est plus important pour décrive les émotions ou les pensées des caractères. Elle pensait que les émotions décrivent l’expérience plus bien que l’acte seul. Pour cette raison, Duras écrivait les nouveaux romans et les films sont abstraits. Pour moi, j’aime beaucoup Duras. Sa vie et plus intéressent et c’est une bonne inspiration !

L'amant

Quand on lit L’amant, il y a des moments de gêne et dégout. Les idées sont controverses et ose pour leur temps. L’amant est une histoire complique parce que Duras explique les tabous de la vie. Au début, la fille de quinze ans a un rapport avec un homme de vingt-huit ans. Ce n’est pas un tabou maintenant, mais le rapport entre le deux est le problème. L’homme a trop de femmes en même temps. La fille n’aime pas l’homme et sa famille lui utilise pour son argent. Le tabou de racisme est une autre partie du problème. Elle est blanche et il est chinois. Les deux sont immigres, mais ils sont différents et leur rapport est interdite. Ensuite, C’est le tabou de la sexualité des enfants. La narratrice dit que sa mère la vend à l’homme. C’est la question de prostitue des enfants. De plus, C’est une accusation de viole par le frère quand la narratrice était plus jeune. Maintenant, la sexualité des enfants est le plus dégout pour tout le monde. C’est un problème que les personnes ne parlent pas de beaucoup. Le prochain tabou est l’utilisation de drogues par le frère et comment il utilise sa mère pour toutes les choses. L’utilisation de drogues est tabou parce qu’il détruite la vie des personnes. L’utilisation de sa mère est un problème parce que le frère est plus âge et la mère soutien le problème par son argent et son déni. Le dernier tabou dans la première partie de l’histoire est le rapport homosexuel entre la narratrice et Hélène Langonelle. Ce n’est pas clair s’il y a un acte sexuel mais l’idée de la narratrice est très vulgaire. Ce n’est pas un tabou universel, mais quelques personnes pensent qu’il est très mauvais. Il y a beaucoup de problèmes avec les personnages dans L’amant et Duras les utilise à explorer les tabous des personnes. C’est peut-être une autobiographie d’une vie très dure, mais il dit aux choses que les personnes ne veulent pas entendre. Les tabous dans L’amant sont le thème souligné. C’est important que le lecteur comprend qu’il est bien de parler des tabous et L’amant est une chose important pour ce discussion.

Marguerite Duras et L'amant

Marguerite Duras était une femme très intéressante. Elle était un écrivain fantastique avec de sérieux problèmes. Après son livre L'amant a été libéré gens ont vraiment commencé à apprendre qui elle était. L'amant est proche d'un roman érotique qui a été fondée sur son expérience de la vraie vie. Elle était la fille sur le bac avec le chapeau de l'homme et les souliers d'or. Elle était la fille qui avait l'affaire avec l'homme plus âgé. Marguerite Duras était aussi la femme qui était dans le coma pendant cinq mois en raison de l'alcoolisme. Sa carrière a commencé lentement. Gallimard n'a pas accepté son premier livre, mais elle a continué à écrire et quand elle a terminé son prochain roman, Les impudents, elle a menacé de se suicider si elle n'a pas été publiée.
Publié en 1984, L'Amant a été traduit en 43 langues et a reçu le Prix Goncourt 1984. La manière dont le livre autour de sauts dans le temps laisse le lecteur se demandant si Duras essayait de nous confondre, ou si ses souvenirs étaient trop confus avec l'alcool.


http://womenshistory.about.com/library/bio/ucbio_duras_margaret.htm

Les Gommes

Dans le nouveau roman Les Gommes, Alain Robbe-Grillet démontre la valeur des objets dans les histoires. Robbe-Grillet se concentre sur quelques objets et détails qui sont plus important que les personnages. Il y a beaucoup d’accent sur temps, les gommes, et les détails de la ville. Je pense que l’emphase sur les objets représente l’importance de l’effet de nos environnements. Comme humains, nous aimons penser que nous pouvons contrôler tout mais il y a d’autres facteurs qui exercent un grand effet sur nos vies.
Je pense que le temps est l’une des plus grandes limitations dans nos vies. Le temps est limité. Ce que vous pouvez accomplir dans votre vie est limité par temps. Robbe-Grillet donne le lecteur beaucoup de détails de l’actions de l’assassins et Wallas aussi. Je pense que les gommes sont importantes parce que l’assassin a fait une erreur. C’était une petite erreur mais elle mène à la panne. Wallas a une gomme. Il a plus de temps que l’assassin de passer par les scénarios pour trouver l’erreur. Wallas ne sait pas qu’avec sa gomme il corrige plus que sa théorie du meurtre mais il corrige l’erreur qui mènera à son succès. Malheureusement son succès n’est pas la capture de l’assassin comme il prévoyait, il devient l’assassin.

Saturday, March 20, 2010

"L'Amant" Marguerite Duras

Ce roman est une série des images que la narratrice nous raconte en regardant en arrière sur son passé et le présence. On raconte la première image quand elle rencontre l’homme dans « le hall d’un lieu public » (p. 9) Cette visage est comme une expérience qui met en place le cadre dans lequel le roman sera construit : l’extérieur, le point de vue, anonyme, réalisé sur la face extérieure de la narratrice, est un moyen de découverte de soi. Il permet la narratrice mesurer la signification intime de sa vie, en contemplant les échos elle a évoqué dans d’autres. « Je pense souvent a cette image que je suis seule a voir encore et dont je n’ai jamais parle. Elle est toujours la dans le même silence, émerveillant. C’est entre toutes celle qui me plait de moi-même, celle ou je me reconnais, ou je m’enchante » (p. 9)
La narratrice utilise « elle » pour raconte l’histoire de sa vie et on a l’impression qu’elle se regarde comme elle est autre personne. « Elle a cessé d’être une donnée brutale, fatale, de la nature. Elle est devenue, tout a l’oppose, un choix contrariant de celle-ci, un choix de l’esprit. Soudain, voilà qu’on l’a voulue. Soudain je me vois comme une autre… » (p. 20)
Après la première image, on découvre le milieu de la narratrice : « Que je vous dise encore, j’ai quinze ans et demi, C’est le passage d’un bac sur le Mékong. L’image dure pendant toute la traversée du fleuve » (p. 11).
On rencontre des autres images, comme l’apparence de l’amant « dans la limousine il y a un homme très élégant… » (p. 25)
Dans ce roman il y a beaucoup de retour en arrière, des mémoires flash et des moments du futur, et toutes ces choses ont rapport avec la famille de la narratrice et l’amant.
Plusieurs années plus tard, l’amant est venu à Paris et lui téléphonera pour lui déclarer qu’il ne cessera jamais de l’aimer, « jusqu'à la mort ». Ce paragraphe était une autre image du passé et bien que il semble comme un acte de présent, mais l’amant ne puisse pas la voir, et on a l’impression que c’était une voix du passé, une image du passé.

Wednesday, March 17, 2010

Madeleine

J’ai beaucoup critiqué Hélène parce qu’elle est si gâtée, et parce qu’elle fait mal aux autres pour avoir ce qu’elle veut. Mais les autres femmes, aussi, elles ont leurs propres défauts. On voit Madeleine, qui est amorphe et ne dirige pas sa propre vie. On voit un moment de bonnes intentions quand elle va en Espagne pour aider les autres, mais quand Jean lui dit qu’il ne faut pas y aller, elle dit, « Il n’y a pas besoin de tant de raisons » et « J’ai envie de partir » (Beauvoir 147). Alors il paraît que ce n’est même pas qu’elle a tant d’envie de faire du bien, mais plutôt qu’elle s’ennuie avec sa vie à Paris et elle ne croit pas que sa décision soit importante. En tout cas, elle n’arrive rien faire à cause de sa maladresse, et on la trouve ridicule puisqu’elle doit retourner en France sans avoir aider personne.
Bien que Jean a beaucoup d’affection pour Madeleine, il la quitte pour Hélène, et même qu’elle est blessée, elle ne fait rien pour l’empêcher. En plus, elle dit, « Je n’ai jamais pensé que tu me serais fidèle toute ta vie » (Beauvoir 137). On a l’impression qu’elle ne pense pas qu’elle mérite de vrai amour, et bien qu’elle ne ressente pas l’amour non plus, sinon elle n’aurait pas lâché Jean si facilement. Par contre, on voit quand même qu’il lui a fait du mal, puisqu’elle commence à se droguer de nouveau. Ou peut-être c’est simplement qu’elle s’ennuie sans Jean, et la façon de s’amuser lui est égale, alors quand les autres hommes lui offrent des drogues, elle accepte. De toute façon, c’est évident qu’elle ne se souci guère d’elle-même.
En regardant ces personnages, je me suis rendue compte que Madeleine représente le contraire d’Hélène. Dans le livre, Jean doit choisir entre les deux, alors elles sont déjà mises en opposition, mais leurs caractères sont aussi très contradictoires. Il y a Hélène, qui fait tout pour obtenir ses toutes petites désires, et qui dit, « On recherche toujours son avantage » (Beauvoir 63) puis Madeleine, qui ne paraît pas d’avoir des désires, ou au moins elle ne fait pas d’effort pour les réaliser. Elle dit même que « la vie ne vaut pas si cher » (Beauvoir 147). Dans ces deux femmes très différentes, il faut essayer de comprendre les valeurs et les défauts.

Thursday, March 4, 2010

La representation du temps et de la ville dans Les Gommes d’Alain Robbe- Grillet

Le facteur temps joue un rôle capital dans cette œuvre car dès l’entame du roman l’auteur insiste sur ce fait pour montrer aux lecteurs que rien ne sera plus comme avant à cause d’un changement temporel, nouvel dans la vie des citadins. Cette rupture brutale n’est que l’ordonnance temporelle qui va rythmer le quotidien, les heures, les minutes et même chaque seconde dans cette ville. Ce bouleversement des choses donne une nouvelle empreinte au visage de la cité. L’auteur utilise plusieurs mots pour noter ce changement temporel : Les événements de cette journée, si minimes qu’ils puissent être, vont dans quelques instants commencer leur besogne entamer progressivement l’ordonnance idéale, introduire ca et la, sournoisement, une inversion, un décalage, une confusion, une courbure, pour accomplir peu à peu leur œuvre un jour, au début de l’hiver, sans plan, sans direction incompréhensible et monstrueux (11).
Le romancier se focalise sur l’espace temporel pour montrer le caractère véreux et rigoureux de la saison. L’hiver est la période pendant laquelle les conditions climatiques sont défavorables dans le matin misérable(14). Il y a un rapport entre le temps et la tentative d’assassinat de monsieur Dupond car tout a été bien prémédité, monsieur Garinati a reçu toutes les instructions pour exécuter son coup dans la maison de M. Dupont et il sait au préalable ce qu’il doit faire dès l’arrivée du professeur Dupont. Par ailleurs Garinati a choisi le soir ce qui n’est pas du tout gratuit comme cela il peut commettre son acte sans que les gens soient au parfum du crime. Cette une période pendant laquelle il y a le silence dans la ville donc un moment propice pour lui. On voit bel et bien que c’est un crime qui a été minutieusement planifié. Grillet nous fournit des informations détaillées sur l’heure exacte de l’arrivée de Garinati dans la rue des Arpenteurs : A sept heures moins cinq il est arrivé tranquillement par la rue des Arpenteurs(21). Cette précision temporelle est de taille car l’homme qui a tenté de tuer M. Dupont suit de très près les activités du professeur et par delà connait son emploi du temps. Pour mieux réussir son coup, il doit à chaque instant, chaque minute, chaque seconde vérifier sa montre et c’est la raison pour laquelle le temps prime car sinon il pourrait faillir à sa mission en d’autres termes ne pas exécuter à l’heure indiquée. L’écrivain utilise un registre qui a trait au temps avant l’heure...ce matin ….vers sa montre ; puis vers sa pendule(14) pour souligner la suite chronolologique des événements qui ont émaillé la vie des habitants pendant plus d’une semaine Il ya régulièrement, depuis neuf jours, un assassinat par jour et chaque fois entre sept heures et huit heures du soir(34) mais aussi pour montrer l’importance du temps dans la ville. Diverses raisons expliquent l’arrêt de la montre : premièrement, il y a une parfaite harmonie entre l’attentat et la montre car il se peut qu’elle soit endommagée au moment du crime. Deuxièmement, Garinati a du la régler pour attirer son attention. La troisième possibilité plausible est la suivante : la montre, Elle s’est arrêtée hier soir(40) parce quelqu’un a tenté d’assassiner une personnalité importante. Selon les informations relayées par les journaux :Décès d’un de nos concitoyens .Un cambrioleur audacieux s’est introduit hier à la nuit tombée dans la demeure de M. Daniel Dupont(65) donc la sécurité des biens et des personnes est menacée et marque une nouvelle tournure dans la vie de la nation et de la ville en particulier puisque les assassinats vont crescendo. Désormais rien ne sera comme avant, le passé et le présent sont respectivement synonymes de paix et de violence. Cette rupture traduit l’insécurité totale qui prévaut dans la ville contre ces hommes dont le rôle politique, quoique non officiel est sans doute très important(62)
Le temps est au cœur des activités des citadins c’est pourquoi partout dans la ville les gens jettent toujours un coup d’œil régulier sur la montre et la pendule. Nous avons l’impression que beaucoup de personnages dans le roman sont obsédés par le temps. Plus loin, cela se confirme par l’horloge de la préfecture(63).
D’une manière générale, Grillet met au centre des activités des citadins l’espace temporel pour insister sur la chronologie des événements qui rythment cet espace spatial.

Dans plusieurs pages du roman, Grillet met l’accent sur l’espace spatial pour donner le plan de la ville. Il fait une description détaillée sur la géographie les rues, les avenues et les différents services qui occupent une place importante dans les activités quotidiennes des citadins. Toutes ces informations précises sur la ville facilitent la recherche aux étrangers qui s’y débarquent par conséquent jouent un rôle primordial puisque tous ces repères nous donnent une idée de la carte de la ville dans son ensemble : L’avenue Christian-Charles…La rue des Arpenteurs…La rue Brabant…La rue Joseph-Janeck…La rue de Berlin…Le Canal Louis V…La rue Copenhague…La préfecture(63)…Le palais de justice…Rue de la Charte…Le Commissariat général…La poste…La route de Delf(64).Plus loin, il y a la Clinique Juard, onze rue de Corinthe…Café des alliés (75) C’est une ville qui regorge de beaucoup de services qui sont indispensables. Parallèlement, la description détaillée de la ville insiste sur l’architecture de cet espace géographique qui sur le plan esthétique revêt un aspect ancien et structurel. Alain R.Grillet note que outre que l’invraisemblance du prétexte à cette époque de l’année dans une cité complètement dépourvue d’attributs pour un amateur d’art(60).Selon l’écrivain, contrairement à beaucoup d’espaces de cette cité, la seule partie qui revêt un caractère moderne est la place de la préfecture. Par le biais de l’adverbe heureusement(62),on comprend qu’il y a nettement une très grande différence entre cet édifice et les autres parties de la ville. Dans cette perspective, il dit La place de la préfecture est une grande place carrée, bordée sur trois cotes de maisons à arcades ; le quatrième coté est occupé par la préfecture, vaste bâtisse en pierre d’un style a volutes et coquilles Saint-Jacques heureusement peu chargé, d’une laideur en somme assez sobre(62) Cette focalisation sur les objets, les bâtiments traduit la vision de l’écrivain qui comme s’il nous fait une visualisation de l’espace urbain. En lisant le roman, on a l’impression qu’on suit un film divisé en plusieurs séquences et dont il est difficile de comprendre le dénouement car à chaque ruelle, bâtiment, service et même place de cette localité, le lecteur est plongé dans un monde véreux. Une étude pointue sur les personnages du roman permet de savoir que la ville présente un espace mystérieux dans lequel presque tout est brouillé. Tous les personnages qui se sont prononcés par rapport à cette affaire ignorent vraiment la vérité. Il y a une adéquation entre l’opacité qui entoure l’assassinat de Monsieur Dupont et l’architecture ancienne de cette ville. Malgré tous ces repères, il résulte de ce caractère véreux de la ville un point essentiel pour situer la vérité. Pourquoi Wallas a-t-il acheté une gomme ? Y a-t-il un lien entre la gomme et la ville ou entre la gomme et le crime ? Notre réponse est positive car elle (la gomme) permet d’effacer, de revoir, de ne pas emprunter les avenues et les rues sinueuses sinon on risque de se perdre. On voit bien que Wallas, une fois dans la ville, s’est perdu malgré tous les repères ce qui justifie qu’il lui sera difficile de trouver l’assassin. Mais grâce à la gomme, il a pu maitriser la géographie de la ville.

D’une manière générale, Alain R. Grillet est considéré comme le chef de file du Nouveau Roman qui par sa virtuosité éblouissante place au cœur de son roman le temps, les objets et les repères géographiques.

Tuesday, February 23, 2010

Camus, l’absurde et « Le Mythe de Sisyphe »

Dans « Le Mythe de Sisyphe », Albert Camus nous dit l’histoire de Sisyphe, une figure de la mythologie grecque, et pourquoi Sisyphe est l’héro de l’absurde. Quelle est l’histoire de Sisyphe ? Ce n’est pas très clair pour tout le monde. Il y a les interprétations différentielles et Camus explique un peu sur ces interprétations. Mais l’objectif principal est la partie de l’histoire où Sisyphe est condamné par les dieux à rouler sans cesse un rocher au sommet de la montagne. À la haute, le rocher retombait au pied de la montagne. Ce procès continue pour une éternité. D’ici c’est où Camus croit que Sisyphe devient l’héro absurde.

Mais premier, je veux commencer avec la définition de l’absurde. Qu’est-ce que c’est l’absurde ? C’est un concept qui est comme l’idée d’existentialisme mais c’est un peu extrême. Alors, quand on essayera de trouver le sens de la vie, on ne réussira jamais parce qu’il n’y a pas un sens – la vie est, elle existe dans une façon qui nous ne pouvons pas comprendre. C’est une idée impossible pour les humaines de comprendre. Le plus nous essayons de trouver ce sens, le plus notre recherche est inutile. Alors on voit l’absurde – le gouffre entre le sens de la vie et nos efforts échoués pour les comprendre.

Comment est-ce que Sisyphe est similaire à cette notion ? C’est simple : Sisyphe aime sa vie. Il avait peur de la mort. Il aurait fait n’importe quoi à vivre et exister. Même roule un rocher jusqu’au sommet d’une montagne pour une éternité. Il ne comprend pas pourquoi, mais il continue de rouler ce rocher parce qu’il continuerait de vivre. Pourquoi ? Quelle raison ? Il ne sait pas, mais il accepte son destin. C’est ici, dans le moment où Sisyphe descende au pied de la montagne, que Camus veut examiner Sisyphe. C’est ici, dans ce pause, que Sisyphe accepte son destin et il continue quand même. C’est l’essence de l’héro absurde pour Camus.

"Le mythe de Sisyphe" et l'absurde

Les dieux grecs punis beaucoup de gens en leur temps. Sisyphe est l'un des plus célèbres. Sa punition a été l'un des pires. Il passait ses journées dans les Enfers poussant un rocher haut d'une colline / montagne, mais juste quand il arrive au sommet de la montagne, le rocher roule à nouveau. Il doit le faire pour toute l'éternité. Il est superflu et stupide. Elle est désespérée. Les nazis dans la guerre mondiale j'ai utilisé des punitions comme celle dans les camps de concentration. Les prisonniers ont été forcés à porter des pierres d'un endroit à l'autre et inversement. Il était destiné à briser leur moral et leur enlever leur espérance de vie.
Camus affirme que Sisyphe a accepté son sort et il est presque heureux moments. Il est gratuit pour ces quelques instants lorsque la roche est glissant loin de lui. Il est libre de penser et de réfléchir sur sa peine. Son destin est absurde. Il est un héros absurde. Il est au-dessus de son sort parce qu'il la comprend. Il sait qu'il ne finira jamais, mais le fait qu'il ne peut comprendre que l'aide à s'élever au-dessus. Selon Camus, un homme absurde est un homme qui vit en pleine conscience de l'absurdité de sa position. Il est peut réaliser alors que sa vie est aussi bon et tout autre être humain (sauf qu'ils ne sont pas morts ou en enfer).
Sa vie est futile. Le désespoir de sa tâche de Sisyphe donne un type de clarté. C'est une tragédie. C'est absurde. C'est Camus.