Tuesday, February 23, 2010

Camus, l’absurde et « Le Mythe de Sisyphe »

Dans « Le Mythe de Sisyphe », Albert Camus nous dit l’histoire de Sisyphe, une figure de la mythologie grecque, et pourquoi Sisyphe est l’héro de l’absurde. Quelle est l’histoire de Sisyphe ? Ce n’est pas très clair pour tout le monde. Il y a les interprétations différentielles et Camus explique un peu sur ces interprétations. Mais l’objectif principal est la partie de l’histoire où Sisyphe est condamné par les dieux à rouler sans cesse un rocher au sommet de la montagne. À la haute, le rocher retombait au pied de la montagne. Ce procès continue pour une éternité. D’ici c’est où Camus croit que Sisyphe devient l’héro absurde.

Mais premier, je veux commencer avec la définition de l’absurde. Qu’est-ce que c’est l’absurde ? C’est un concept qui est comme l’idée d’existentialisme mais c’est un peu extrême. Alors, quand on essayera de trouver le sens de la vie, on ne réussira jamais parce qu’il n’y a pas un sens – la vie est, elle existe dans une façon qui nous ne pouvons pas comprendre. C’est une idée impossible pour les humaines de comprendre. Le plus nous essayons de trouver ce sens, le plus notre recherche est inutile. Alors on voit l’absurde – le gouffre entre le sens de la vie et nos efforts échoués pour les comprendre.

Comment est-ce que Sisyphe est similaire à cette notion ? C’est simple : Sisyphe aime sa vie. Il avait peur de la mort. Il aurait fait n’importe quoi à vivre et exister. Même roule un rocher jusqu’au sommet d’une montagne pour une éternité. Il ne comprend pas pourquoi, mais il continue de rouler ce rocher parce qu’il continuerait de vivre. Pourquoi ? Quelle raison ? Il ne sait pas, mais il accepte son destin. C’est ici, dans le moment où Sisyphe descende au pied de la montagne, que Camus veut examiner Sisyphe. C’est ici, dans ce pause, que Sisyphe accepte son destin et il continue quand même. C’est l’essence de l’héro absurde pour Camus.

"Le mythe de Sisyphe" et l'absurde

Les dieux grecs punis beaucoup de gens en leur temps. Sisyphe est l'un des plus célèbres. Sa punition a été l'un des pires. Il passait ses journées dans les Enfers poussant un rocher haut d'une colline / montagne, mais juste quand il arrive au sommet de la montagne, le rocher roule à nouveau. Il doit le faire pour toute l'éternité. Il est superflu et stupide. Elle est désespérée. Les nazis dans la guerre mondiale j'ai utilisé des punitions comme celle dans les camps de concentration. Les prisonniers ont été forcés à porter des pierres d'un endroit à l'autre et inversement. Il était destiné à briser leur moral et leur enlever leur espérance de vie.
Camus affirme que Sisyphe a accepté son sort et il est presque heureux moments. Il est gratuit pour ces quelques instants lorsque la roche est glissant loin de lui. Il est libre de penser et de réfléchir sur sa peine. Son destin est absurde. Il est un héros absurde. Il est au-dessus de son sort parce qu'il la comprend. Il sait qu'il ne finira jamais, mais le fait qu'il ne peut comprendre que l'aide à s'élever au-dessus. Selon Camus, un homme absurde est un homme qui vit en pleine conscience de l'absurdité de sa position. Il est peut réaliser alors que sa vie est aussi bon et tout autre être humain (sauf qu'ils ne sont pas morts ou en enfer).
Sa vie est futile. Le désespoir de sa tâche de Sisyphe donne un type de clarté. C'est une tragédie. C'est absurde. C'est Camus.

L'absurde

La philosophie d’absurde est très intéressante pour moi. J’aime comment la philosophie a dit qu’il est humainement impossible de trouver la signifiance de la vie. L’absurde et le rapport entre quelqu’un qui cherche la signifiance de la vie, et l’apparente insignifiance de la vie.

L’absurde suggère qu’il en est trois solutions pour quelqu’un qui veut trouver la signifiance de la vie. Premier-le suicide, ou échapper leur existence. Deux-croire en un dieu. Trois-acceptation de l’absurde. La solution que je trouve la plus intéressante est le deuxième, et combien de gens dans le monde sont à la recherche de la signifiance de la vie avec la religion et la croyance dans un dieu. Quand Nikki et moi recherchions quelque choses sur le sujet, nous parlions de comment la philosophie d’absurde est quelque choses que la plupart de la monde utilisent avec leur décision de croire dans un dieu. Avec mon blog je ne veux pas être offensive, et je ne dit pas que je ne crois pas dans un dieu, l’absurde suggere qu’il y a des personnes dans le monde qui choisissent la deuxième solution, mais l’absurde aussi suggère qu’il est humainement impossible de trouver si cette signifiance et vrai. Alors… c’est juste moi, je suis d’accord avec l’absurde et comment il est impossible de trouver la signifiance. . Je le trouve bizarre, pas dans un lieu condescendante, quand les gens dans le monde peuvent vivre trop extrême avec cette décision. Alors, de vivre heureux, nous devons accepter notre existence, et ce concept de l’inconnu. Ca c’est pourquoi j’aime beaucoup le mythe de Sisyphe, parce qu’il est le héro absurde. Il a accepté son existence, l’éternité du travail inutile, la réalité, les faits. Pour moi, ca c’est tous que nous savons maintenant, la réalité de la vie.

La philosophie de l’absurde

Les recherches pour le sens de l’univers sont inutile et absurde parce que le sens de l‘univers n’existe pas en relation à l’individu. C’est humainement impossible pour le trouver. Je me suis souvent senti défait pendant mes recherches pour le sens de ma vie. Je ne suis pas une croyante, donc je ne peux pas de dépendre de dieu pour expliquer le sens de tout. Søren Kierkegaard a déclaré que la foi en dieu est absurde parce que ce n’est pas possible de connaître ou de comprendre Dieu. Mais Kierkegaard a dit aussi qu’une croyance dans n’importe quoi en dehors de l’absurde exige une acceptation religieuse qu’est non raisonnable mais peut-être nécessaire. Cette croyance est connue comme «un saut de la foi».
Jusqu’ici dans ma vie, je n’ai jamais pris un saut de la foi dans le sens religieux. Je suis d’accord avec Camus qu’un saut de la foi est un suicide philosophique. J’ai décidé d’accepter l’absurde bien avant j’ai su ce qu’était l’absurde. Je ne peux pas d’expliquer le sens de l’univers, je n’essaye pas d’expliquer le sens de l’univers et je n’aime pas quand les autres utilisent Dieu pour expliquer tout qu’ils ne comprennent pas. C’est trop facile et simple. Je ne comprends le sens de l’univers et ça ne me dérange pas.

Le mythe de Sisyphe

Dans la mythologie grecque, il nous est raconté l’histoire de Sisyphe, un homme qui, pour avoir osé défier les dieux, est condamné à rouler pour toute l’éternité un rocher du bas d’une colline jusqu’en haut, pour voir le rocher déchoir; donc Sisyphe redescend pour ramener le rocher en haut de la montagne. Qu’à fait Sisyphe pour m mériter une telle punition ? Beaucoup de versions sont données pour expliquer la punition de Sispyhe. L’une d’entre elles raconte que Sisyphe fut assez habile pour enchaîner la Mort. Pluton, dieu des enfers fit délivrer la Mort et Sisyphe fut condamné.
Voilà donc Sisyphe condamné à accomplir pour l’éternité une tâche éprouvante, inutile, et sans but. Le rocher de Sisyphe peut alors être utilisé comme une métaphore pour parler de la condition de l’homme sur terre, après avoir été chassé du paradis. En effet, depuis qu’il a perdu le paradis, l’homme accomplit continuellement les mêmes tâches, pour des résultats insignifiants pour ne pas dire inexistants, et pourtant, il s’attèle à accomplir ces mêmes tâches tous les jours, sans révoltes, sans complaintes, et sans conscience de l’absurdité de sa condition. Cependant, il y a une grande différence entre Sisyphe et l’homme en général, car si Sisyphe est conscient de l’éternité de son supplice, l’homme garde espoir et a confiance que l’avenir lui offrira des lendemains meilleurs, que son travail portera ses fruits et qu’un jour, comme promis, il regagnera le paradis.
Sisyphe sait que l’avenir n’emmènera aucun changement dans sa vie (ou sa mort). Il a conscience de l’éternité de son malheur et pourtant il s’attèle à faire son travail comme si il accomplissait un travail gratifiant. Et voilà, Sisyphe s’est encore une fois jouer des dieux, rouler ce rocher pour l’éternité n’est pas une punition car il ne souffre pas, il a pris conscience, il est heureux ! Cependant, même si Sisyphe est heureux, les personnes pleines d’espoir ne sont pas malheureux, elles n’ont pas conscience de leur condition. Ces personnes ne se sont pas rendu compte de l’absurdité de la vie. Demain ne sera pas meilleur et seuls les naïfs, les inconscients pensent autrement.
L’homme doit se rendre compte de l’absurdité de la vie, pour pouvoir y faire face et être enfin heureux, tel Sisyphe. Croire en l’avenir, croire tout simplement c’est une autre façon de se détourner des questions existentielles d’éviter de questionner l’absurdité de la vie.
Mais Sisyphe est en enfer, et pourtant il est heureux. Son pessimisme fait son bonheur. Il est donc légitime de se demander pourquoi est-ce que la conscience apporte le bonheur quand on s’est que c’est elle-même qui nous a fait perdre le bonheur paradisiaque au Commencement. Entre croire en l’éternité d’un supplice et croire en la fin prochaine d’un supplice, lequel peut rendre l’être heureux ? En fin de compte, tout ceci est vraiment absurde !

Robbe-Grillet et Le Nouveau Roman

Robbe-Grillet est très populaire. Les gens pensent qu’il est le père du Nouveau Roman. L’idée des Nouveau Romans sont sur les sujets de sensation ou des choses abstraites. Il compères a un peinture cubiste parce que l’histoire assembles en pièces. Typiquement, Robbe-Grillet beaucoup répètes les choses tant et plus. Il se concentre sur les uniquement et il donne l’émotion de jalousie pendant l’histoire. Le raison pour la répétition et de révéler les éventements et la conclusion. Robbe-Grillet est connait pour plus de raisons, mais la pièce fameuse est Le Voyeur. C’est un roman avec amour et mystère. Robbe-Grillet est plus célèbre et il a les prix notable.

Le Sang des Autres

Dans Le Sang des Autres, il n’y a pas un personnage qui transforme comme Hélène. Elle est jeune au début de l’histoire, pendant la guerre, elle grandit. Au début, elle est immature parce qu’elle prend de mauvais décisions. Par exemple, elle demande à Blomart vole la bicyclette dans la rue. De plus, quand Hélène est jeune, elle ne comprend pas l’amour. Elle veut l’amour, mais elle ne veut pas le donner. Par exemple, Paul aime Hélène et elle l’utilise jusqu'à ce qu’elle trouve un autre homme. Au milieu de l’histoire, elle a un avortement. Je pense que c’est une révélation pour Hélène. Elle décide de faire une transformation dans sa vie. La transformation aide par la guerre aussi. Elle voit beaucoup de choses mauvaises, beaucoup de souffrance et elle doit devenir un adulte. Par exemple, elle voit la confrontation entre les soldats allemands et la mère de Ruth. Elle se sent la souffrance de la mère parce qu’elle est une mère aussi. Par ailleurs, elle doit être sans les choses luxes. Elle ne peut pas avoir toutes les choses qu’elle veut pour la première fois dans sa vie. Et puis, Hélène trouve une raison pour lutter. Elle comprend sa vie et la guerre et devenir une femme forte. À la fin de l’histoire, elle blesse pendant une lutte. Quand elle est en train de mourir, elle dit à Jean, « Tu n’avais pas le droit de décider pour moi. » Je pense que cette phrase montre la transformation d’Hélène. Elle sait la souffrance de Jean et elle essaye de changer sa vie aussi. Il montre qu’elle comprend sa vie et les vies des autres. À mon avis, Hélène est un personnage complique. Au début, Je n’ai pas l’aimer, mais maintenant je la respectais. Elle prend les mauvaises décisions quand elle était jeune, mais la plupart de filles sont irresponsables. C’est facile de comprendre son histoire et je pense que les femmes ne l’aiment pas parce qu’elle leur rappelle a elles-mêmes. Hélène est le plus intéressant personnage. Elle exprime les idées de Simone de Beauvoir et le mouvement féministe. L’histoire montre la force d’une femme et Hélène est une femme transformée.

LA LIBERTE

LA LIBERTE
‘’L’homme est né libre mais partout, il est dans l’enfer’’ et ‘’l’enfer c’est les autres’’.C’est possible de voire la vérité de ces phrases dans HUIS CLOS de Jean Paul Sartre.
Au commencement de leur déménagement, ils décident les trois, de vivre indépendamment, ‘’chacun dans son coin’’ et aussi de vivre en silence. Mais c’est un tache vraiment difficile a faire parce qu’ils ont tous des personnalités différentes. Par exemple Estelle souhaite qu’on l’entende tout le temps et donc ne peut pas se taire. Même si un d’eux essaie de ne pas entendre la parole de l’autre, comme Garcin a s’exprimé ’’vous me bavardiez dans la tête’’. Et même quand il semble qu’il y a le silence, Garcin ajoute, qu’il y a toujours ’’...Ces regards sur moi. Tous ces regards qui me mangent’’. Donc c’est vraiment impossible pour lui d’exercer sa liberté (la liberté de vivre tranquillement) –a cause de la présence de les deux autres de qu’il écrit ’’je vous croyais beaucoup plus nombreuses’’.
Donc on voit avec cette scène que les personnalités des autres peuvent avoir aussi des effets sur notre liberté .Et alors on peut dire que l’existence de l’autrui est nécessaire quand il s’agit de la liberté.
Vers la fin du livre on voit que Garcin a le choix de fuir l’enfer ; de chercher sa liberté mais il se décline. Et quand on lui demande pourquoi, il explique que ‘’c’est a cause d’elle(Inès) que je suis resté.’’ Donc c’était a cause des pensées d’Inès qu’il était resté. Et c’est a cause des pensées des gens sur la terre qu’il a besoin de ses pensés. Alors même dans sa mort l’homme n’est pas libre parce qu’il continue a souci de pensés des autres et donc partout, on peut dire qu’il est dans l’enfer et tout, c’est a cause des actions et des pensés des autres.
Donc c’est vrais comme Inès a dit ‘’Le bourreau, c’est chacun de nous pour les deux autres’’.Et quoi qu’on en veut, nous sommes condamnes à rester ensemble, On ne peut pas vivre seule. Nous, et les autres êtres humains sont ‘’ensembles pour toujours’’ et alors, malgré le fait que nous sommes nées libres, nous sommes partout dans l’enfer a cause des autres.
REGINA COFFIE.

Monday, February 22, 2010

Le sang des Autres - Hélène Bertrand

Dans le roman de Simone de Beauvoir “Le Sang des Autres” le personnage principale m’intéresse beaucoup. Elle s’appelle Hélène Bertrand. La jeune fille est capricieuse et motivée d’avoir quelque chose ou quelqu’un qu’elle veut. Au début de roman on vois cette fille avec Paul, mais quand elle a rencontré Jean Blomart, elle est fascinée par lui et désire follement de le voir et parler avec lui. J’ai l’impression que Hélène est un peu égoïste et elle ne s’inquiète pas de sentiments de l’autre. Par exemple, a la page 55, elle dit : « Je n’ai besoin de personne. J’existe, moi, Hélène, est-ce ce n’est pas suffisant ». Je pensais beaucoup de cette phrase et à mon avis on a besoin de l’autre personne pour exister. On ne veut pas exister seulement, parce que on a besoin de l’autre pour nous accepte. Hélène veut Jean qu'il l’accepte. Mais Jean refuse d’être avec elle. Après ça, Hélène est sans espoir, elle est triste et désespérée, alors « elle a été se saouler avec des camarades. Et…et c’est arrive. C’est un sale type. » (p123) Elle a fait une erreur, puis l’avortement et tout ces son affect sur elle. Elle change, à mon avis elle a mûri un petit peu, a ce moment-ci Jean l’accepte et ils sont ensemble.
Après quelque temps, ils sont rompus. Hélène ne croit pas que Jean veut luter. Elle a dit « Je me tuerai, si tu meurs, et je ne veux pas mourir ». Ce moment-ci est un point tournant dans sa vie. « J’ai menti pour oublier, pour me venger. J’ai choisi de mentir, j’ai choisi d’être la, a cote de cet homme ». (p223) Dans le roman elle a appris de penser à autre chose qu’à soi. Enfin on voit qu’elle est maturée, elle n’est pas la jeune fille plus. Elle est une personne qui « n’a plus peur » (p301). « C’est a moi de décider » (p306). Hélène n’est pas un enfant plus.

Saturday, February 20, 2010

Estelle et Hélène - Partie 2

Ayant analysé les similarités entre Estelle et Hélène, je me suis demandé pourquoi est-ce que Sartre et Beauvoir on représenté ces femmes ainsi. Je crois que les auteurs utilisent ces femmes pour montrer ce que c’est la mauvaise fois. Elles ne sont pas capables d’accepter la faute de leurs actions, ni leur responsabilité vers les autres. En plus, ils soulignent souvent qu’elles n’arrivent pas à se définir sans les autres, qui est aussi vraiment important pour les existentialistes. Alors je comprends la raison pour les personnages qui expriment ces idées, mais cela ne m’empêche pas de me demander pourquoi faut-il que ça soit des femmes qui sont comme cela ? J’y vois beaucoup de stéréotypes ; la jolie fille gâtée qui reçoit tous ce dont elle a envie, et qui ne se souci jamais des autres. C’est pour sa physique si on l’aime, et cela ne la dérange pas du tout. Ce n’est pas une image nouvelle des femmes. En plus, on ne voit aucun homme qui est représenté ainsi.
D’ailleurs, on n’est pas sensé d’aimer ces femmes. Estelle est à l’enfer, et on ne doute jamais qu’elle le mérite. En fait, pendant tout le livre on est étonné par les histoires de ces actes. Au début, Hélène aussi n’est qu’une fille ennuyée et on ne s’en intéresse pas beaucoup. Mais elle grandi pendant le livre, et à la fin elle a complément changé et on la respect. Mais c’était quoi, en fait, cette transformation ? Elle est devenue plus comme les hommes dans le livre, et c’est seulement après ce changement qu’on la regarde comme adulte responsable. Cela ne nous donne pas une image favorable des femmes. Alors je me pose toujours plein de questions. Qu’est-ce que Sartre et Beauvoir ont pensé des femmes ? Surtout Beauvoir, qui a tant fait pour les femmes et le féminisme dans ses autres œuvres; pourquoi elle les peint comme cela ici ? Est-ce qu’ils l’ont fait exprès, ou est-ce qu’ils étaient inconscient de ce qu’il faisaient ? Je ne sais pas.

Tuesday, February 16, 2010

Les thèmes de la responsabilité, l’engagement et la jalousie.

Simone de Beauvoir est une romancière française née à Paris le 9 Janvier. Elle fit de brillantes études de philosophie et joua un rôle très appréciable dans la pensée existentialiste.
Parmi ses œuvres riches et variées nous avons entre autres : L’Invitée (1943), Le sang des autres (1945), Tous les hommes sont mortels (1946), Deuxième Sexe (1949), Les Mandarins (1954), Les Belles Images (1966), Quand prime le spirituel (1979).
Ce roman Le sang des autres met en relief plusieurs thèmes tels que la responsabilité, l’engagement, la jalousie, la culpabilité pour philosopher sur des questions existentialistes.
Dans Le sang des autres, Simone de Beauvoir utilise le thème de la responsabilité pour souligner le devoir de l’homme sur terre pour faire face à certaines questions qui nous interpellent. Cela se remarque à travers le roman, par exemple Jean selon lui, il est responsable de la situation des prolétaires et c’est la raison pour laquelle, il envisage de changer de classe sociale une manière de soutenir la classe majoritaire. Dans cette perspective, l’auteur nous offre un bel exemple de la lutte syndicale pour montrer la responsabilité de Jean pour promouvoir l’égalité, la liberté et la prise de conscience au sein des prolétaires. Il y a également Paul qui est animé d’une volonté humaniste à savoir l’amélioration des conditions de vies des couches défavorisées. On voit que les intellectuels informent la population : J’écris un article sur la grève(77). Simon de Beauvoir montre que les personnages tels que Paul et Jean ont le devoir moral d’éclairer la lanterne des prolétaires pour l’inclusion de la classe majoritaire. Selon Marcel la politique est au cœur de la responsabilité. Par le mot politique, l’auteur avance une thèse de la philosophie existentialiste selon laquelle le choix doit être au cœur de nos activités quotidiennes car dès lors qu’on choisit, on crée notre essence. Donc, selon les existentialistes tels que Sartre et Simone de Beauvoir, l’homme existe est en fonction de ses choix, de ses projets, il crée son identité, s’affirme comme être humain ou comme animal politique. Cela apparait important lors de la conversation entre Marcel et Denise car il affirme l’importance de la politique et selon lui l’homme est un animal politique (79). Marcel par le biais de son discours montre que nous sommes tous responsables et que nos actes impliquent ceux des autres par conséquent nous devons tous œuvrer pour le respect des valeurs morales et sociétales.
Paul représente la responsabilité car Hélène lui a proposé de sortir au moment ou il a un rendez-vous avec quelqu’un mais il décline l’offre et cela montre son choix, sa responsabilité. Il met en lumière son essence. Donc, il est un personnage qui est conscient de l’existence de ses prochains. De plus, il sait que ses actions peuvent impacter positivement ou négativement sur la vie. Donc sa vie est inhérente à celle des autres. Par conséquent, il est voué à respecter le pacte qui le lie à l’autre. Paul aurait pu accepter de sortir avec Hélène mais il préfère respecter sa parole.
Donc, nous constatons que dans l’œuvre, la responsabilité joue un rôle primordial car la romancière écrit que : sans empiéter sur la liberté de personne et tout en demeurant responsable de soi (74).

Par contre, il y a Hélène qui n’est pas responsable. Elle est individualiste. Elle oublie l’autre c'est-à-dire son prochain. La parfaite illustration est la suivante :Mes yeux, mon visage (55). Elle ignore ses prochains. Elle a un comportement puéril car premièrement, elle vole la bicyclette d’autrui et implique l’ami Jean. Deuxièmement, elle n’est pas décisive, elle est dans un choix cornélien, tantôt elle est avec Jean, tantôt elle se tourne vers Paul ce qui est a la limite un comportement irresponsable.
Simone de Beauvoir met l’accent sur le thème de l’engagement pour mettre en exergue la question de la grève et l’engagement des prolétaires. Sur le plan philosophique, la romancière française nous propose des idées existentialistes selon lesquelles l’existence précède l’essence. Donc, il y a d’un coté les bourgeois et les prolétaires de l’autre. Ces derniers (prolétaires) s’engagent dans la lutte pour l’égalité et ils pensent que c’est une question noble. Dans cette même veine, Simon de Beau voir note que :
Sur le plan psychologique, on note la frustration des prolétaires. Il découle de cette frustration une grève pour faire pression sur la bourgeoisie. Pire encore La parfaite illustration est la suivante : Ce travail-là me semblait licite parce qu’il n’avait rien d’un travail politique, il était a une mesure humaine(78). Plus loin, elle ajoute pour montrer l’engagement collectif : chaque membre du syndicat reconnaissait sa propre volonté dans la volonté collective. Ici, l’auteur explique d’une taillée, le choix a l’échelle individuelle mais aussi au niveau social. Par exemple à titre individuel, l’auteur justifie l’engagement de Marcel, Paul et Jean.
Le thème de la jalousie revient sans cesse dans ce roman. A travers les différentes pages, le lecteur est frappé par la jalousie car Hélène est jalouse de Madeleine. Et cela se justifie par la phrase suivante : C’est à cause de cette vilaine bonne femme (95). Ici, Hélène extériorise sa jalousie, ses faiblesses. Elle ne veut pas admettre l’essence des autres. Pire, elle ne peut être seule. Il y a une distraction car elle se focalise sur ce que fait l’autre et oublie son essence qui doit être au cœur de sa vie. C’est la raison pour laquelle, elle ne fait pas d’introspection et par conséquent, elle a beaucoup de vices entre autres le vol et la jalousie…Donc, psychologiquement, Hélène souffre. La romancière note que : Elle suffoquait de jalousie (95) car elle est troublée par la présence de Madeleine.
D’une manière générale Le sang des autres est à la fois une œuvre philosophique d’une haute dimension pour illustrer l’idéologie existentialiste.

Monday, February 15, 2010

L'existentialisme Aujourd'hui

L’existentialisme en la société d’aujourd’hui n’existe pas. L’idée d’existentialisme est axée sur l’individuel et la liberté. Aussi, l’essence, l’autre, et raison sont important. Existentialistes croient que l’individuel est précis est son essence est déterminé par ses actions. Par exemple, si vous assistez les autres, ils vous considèrent comme une personne gentille. Maintenaient, les gens pensent qu’ils définissent eux-mêmes, mais ca n’est pas vrai. Nous sommes définis par les autres. Chaque jour, les gens veulent approbation de ses amis ou ses familles. Nous nous définissons par l’exemple des actrices, des acteurs, des personnages fameux. Nous définissons nos besoins sur les besoins des autres. Si un ami que j’admire achète une nouvelle voiture (comme un BMW), je voudrais ca aussi.

Aussi, les gens changent les actions par l’idée populaire. Un exemple est donner l’argent á charité. L’idée est plus populaire, mais il n’y a pas les convictions en cette cause. Beaucoup des gens donnent l’argent pour un cause populaire, pas parce que cette cause expulse une émotion forte. Les gens qui donner l’argent parce qu’ils pensent c’est juste et parce qu’ils croient dans la cause sont existentialiste.

Saturday, February 13, 2010

L'EXISTENTIALISME

L’EXISTENTIALISME.

L’idée de l’existentialisme a eu sa naissance pendant le 19eme siècle. Mais ce n’était pas jusqu'au 20eme siècle qu’elle est devenue très reconnu et acceptée par la plupart des philosophes tels que Jean Paul Sartre, Simone De Beauvoir, Martin Buber, Gabriel Marcel, Albert Camus etc. Ces philosophes ont servi des leurs œuvres pour faire clarifier cette idée. Un exemple c’est Simone de Beauvoir qui a sert de un de ses livres : ‘’Les Sang Des Autres’’, pour faire épargner l’idée de l’existentialisme.

Selon La définition de Wikipedia, ‘’L’existentialisme est un courant philosophique et littéraire qui postule que les individus créent le sens et l'essence de leur vie par leur action et leur courage par opposition à la thèse que ceux-ci soient créés pour eux par des doctrines théologiques ou philosophiques. L'existentialisme considère donc chaque personne comme un être unique qui est maître non seulement de ses actes et de son destin, mais également - pour le meilleur comme pour le pire - des valeurs qu'il décide d'adopter.’’ En outre, les existentialistes sont de vues que la conscience de la responsabilité de l’homme envers ses autrui et sa liberté est ce qu’aboutit à l’angoisse, la mauvaise foi, et l’absurdité.

Alors, dans le livre ‘’ Les sangs des autres’’ de Simone de Beauvoir, On voit L’héro Jean qui décide de quitter sa famille a fin de chercher son propre essence. Avec ses parents, il existait tout simplement et plutôt sous leur désir et leur plaisir et non pas le sienne (lui, au contraire s’intéressait au communisme). Il faut du courage pour quitter la maison, opposer son père et créer sa propre vie. Donc avec ses actions et son courage, Jean a pu créer son essence(en niant une vie bourgeoisie pour une vie vraiment simple) et il se sentait finalement plus content parce qu’il se considère des lors, comme un être unique parce qu’il est « maitre non seulement de ses actes…mais également-pour le meilleur comme pour le pire- des valeurs qu’il décide d’adopter ». Il essaie d’expliquer a Helene qu’en réalité, c’est Dieu qui nous a mit au monde mais c’est a nous-mêmes, de créer nos personnalités. Cela ne reste pas à Dieu. Donc pour Jean (et pour les Existentialistes), il n’y a rien comme le Destin Celeste car c'est nous memes qui cree nos destins par nos choix et nos actions.

Peu à peu Jean devient plus conscient de sa responsabilité envers les autres. Jacques, son ami, est mort parce qu’il a mit une pistole dans son main. Ces pensées lui ont amené les sentiments de l’angoisse. Il se sent coupable même avec le meilleur choix de promouvoir la paix en Paris parce qu’il pense qu’en faisant cela, il a trahit l’Australie. Pour Denise, Marcel, et Helene, Jean se torture en prenant conscience des autres. Mais Simon de Beauvoir nous aide a voire le contraire Chez les couples : Denise et Marcel.

Dans un coté, on voit Denise qui n’est plus contente parce que Marcel refuse de prend conscience de son existence ; il refuse d’accepter sa responsabilité envers d’elle et donc cela la fait malheureux. Comme la mère de jean a dit c’est vrai que Marcel a la liberté de fait ce qu’il voulait. Mais cela devient une transgression contre Denise quand sa liberté la fait triste.

Dans l’autre coté, on voit que quand jean décide enfin que la joie d’Helene et même son existence et essence, reste avec lui (car elle a besoin de son amour), il décide enfin de lui mentir qu’il l’aime. En faisant cela, il prend conscient de sa responsabilité envers d’elle et le résultat ce que Helene était contente et Jean lui-même aussi. Pour un moment il semble qu’il était plus libre qu’avant et c’est ce que constate Helene.Avec les deux comparaisons dans les livres, on peut voire les deux effets de la décision de prendre ou de ne pas prendre conscients de nos responsabilités envers les autres.

En conclusion, jean est déstressé parce qu’il peut être seulement ce que pense les autres (comme Helen et Marcel) de lui et pas ce qu’il est en réalité a l’intérieure et ceci est un autre concept de l’existentialisme (on est ce que pense les autres). Il décide néanmoins, d’accepter la condition car il ne peut rien faire de la changer.Quoi qu'il en fasse, il ne cessera d'exister

Donc, a l’aide de son livre ‘’les Sang des Autres’’, Simone de Beauvoir nous mène a comprendre quelques concepts de l’existentialisme.

REGINA COFFIE

Thursday, February 4, 2010

L'Existentialisme

L’existentialisme peut être compliqué mais j’essayerai discuter certains des thèmes présentés par Jean-Paul Sartre en «Huis Clos». Sartre souligne l’idée que on est responsable de ses actes et ses actes créent son essence. On est seul et libre pour faire ses propres choix et donc on doit créer son essence et on est seulement responsable de son essence. En «Huis Clos», Sartre utilise ses trois caractères principaux pour démontrer comment les choix définissent une personne et leur vie. Il prouve également que nous sommes responsables des conséquences de nos choix, particulièrement ces choix qui blessent les autres.

Chacun de ses caractères est en enfer à cause de leurs choix qu’ils ont faits sur terre. Seulement un des caractères, Inès, admet ouvertement à son méfait mais elle n’a aucun remords et elle s’appelle souvent une personne cruelle. Les autres deux, Garcin et Estelle, se fient fortement sur s’autres personnes pour définir leur essence. Ils ne reconnaissent pas que on est la somme de ses actions et ils ont commis la mauvaise foi. Ainsi, Ils sont condamnés pour se torturer pour une éternité.

Les problèmes de conscience de Jean Blomart

Jean Blomart, l’un des principaux personnages de Le Sang des Autres apparaît dans le livre comme une personne avec qui veut porter tout seul le poids de la souffrance des autres, même si il n’est nullement responsable de cette souffrance et ne peut rien faire contre.
Né dans une famille bourgeoise, Jean prend conscience de sa responsabilité sur la condition des autres très tôt dans sa vie. Alors qu’il n’était encore qu’un enfant, il se sentit coupable de la mort du bébé de sa voisine mort d’une méningite. Plus tard, il apprend l’imprimerie et décide d’abandonner sa famille et de vivre plus modestement, car il sentait coupable de sa condition de bourgeois, et disait ‘je ne veux pas rester toute ma vie dans une situation fausse’ (De Beauvoir, p 29), comme si c’était lui-même qui avait décidé son existence, décidé de vivre dans l’opulence alors que les autres survivent à peine. Il est d’autant plus frustré qu’il sait qu’il ne peut pas se départir de son passé de bourgeois, ce passé qui malheureusement pour lui est son identité. Il rejoint le parti communiste et le quitte parce que son ami Marcel se fait tué lors d’une manifestation et il se sentit coupable de cette mort.
Quand Hélène tombe enceinte, il se sent aussi responsable de la grossesse, bien qu’il n’en soit pas l’auteur. Parce qu’il se reproche cette grossesse dont il n’est pas responsable, il assiste Hélène a y mettre un terme et reste à ses côtés comme aurait du le faire le vrai auteur de la grossesse.
Blomart était d’abord contre la violence. Mais voyant que la non-violence ne résolvait rien, il mit sur pied une association qui entreprenait des actes de violence envers l’ennemi. Avec un de ses camarades, il fit exploser un bâtiment occupé par les Nazis, et comme riposte, les occupants allemands décidèrent de fusiller plusieurs personnes si les auteurs du crime ne se rendaient pas. Pour une fois, les actes de Blomart ont clairement un impact négatif sur la vie d’autrui. Cependant, il ne va ni se rendre, ni mettre un terme à ses actions, car il a compris que même si ses actions avaient des conséquences dévastatrices sur la vie des autres, même si ces actions peuvent faire couler le sang des autres, il doit réagir et pour faire changer les choses.
Tout au long du roman, on voit un Blomart très consciencieux de sa personne et des problème existentiels du monde, une personne qui croit que tout est de sa faute, qu’il peut et doit empêcher la souffrance des autres, et qui lutte pour trouver dans sa place dans ce monde car il ne veut pas accepter sa condition de bourgeois, mais ne peut pas vraiment se fondre dans la masse des prolétaires et comme son ami Marcel lui dit au début du livre ‘il y aura toujours un abîme entre un ouvrier et toi : tu choisis librement une condition qu’il subit’ (De Beauvoir, p 37).
Peu à peu, il accepte son impuissance à régler ou empêcher la souffrance des autres, sans pour autant cesser de se voir comme coupable de ce qui arrive à l’autre.
Ce qui m’emmène à me demander si Blomart pense qu’il peut créer l’essence des autres ? Car sinon, pourquoi se verrait-il comme coupable des actes et conditions des autres, actes qu’il ne peut nullement contrôler si on se réfère aux théories existentialistes qui veulent que l’individu soit auteur et responsable des ces propres actes, son propre essence.

Sartre et thèmes de « Huis clos »

La pièce du théâtre par l’existentialiste Jean-Paul Sartre qui s’appelle « Huis clos » est une histoire sur trois personnages : Garcin, Estelle et Inès. Au début d’histoire, un garçon escorte Garcin dans une salle d’enfer. Cette salle n’a aucune des fenêtres ou des miroirs. Pendant le premier acte, quelque dialogue se passe entre les deux personnages et alors le garçon quitte la salle. Garcin est seul jusqu’à une femme entre la salle. Elle s’appelle Estelle. Après quelque temps, les deux rencontrent la femme qui s’appelle Inès. Tout le monde découvre bientôt qu’ils sont dans l’enfer. Par la fin de pièce, tout le monde rendre compte qu’il n’y a pas une sortie – ils doivent rester dans la même salle avec les uns les autres pour une éternité. D’où donc le nom de la pièce « Huis clos » et l’idée que notre enfer est les autres.

Alors, qu'est-ce que c'est le sens de l'expression, « notre enfer est les autres » ? C’est un concept très difficile, mais si nous comprenons l’existentialisme, alors nous comprendrons pourquoi Sartre fait cette déclaration. Alors, la question est qu'est-ce que c'est l'existentialisme ?Selon de Sarte, la définition approximative est l’idée philosophique qui applique au moi : les conditions d’existence individuelle. Pour Sartre, il y a l’essence et l’existence. L’existence vient avant l’essence et nous créons notre propre essence. Avec cette essence, nous créons notre existence.

L'idée qui notre enfer est les autres est une idée existentialiste. Sartre dit que quand nous dépendons en les autres pour notre essence, alors nous ne vivons pas pour nous-mêmes. Nous ne créons pas notre existence. D'ailleurs, selon de Sartre, nous n'existe pas comme les personnages de « Huis clos ».

Estelle et Hélène

En lisant Huis Clos et Le sang des autres, j’ai été frappée par les similarités entre Estelle et Hélène. Malgré le fait qu’elles ont des buts extrêmement différents, je trouve qu’elles utilisent les mêmes moyennes pour obtenir ce qu’elles veulent. En plus, elles essayent de se définir dans plus ou moins la même façon.
Pour commencer, regardons ce qu’elles font pour obtenir leurs désires. Estelle s’ennuie avec son mari, alors elle trouve un amant, sans penser aux sentiments de son mari. Puis, quand elle se trouve enceinte, elle tue l’enfant sans penser ni à l’enfant, ni à son amant, le père du bébé. En plus, quand elle dit, « [Mon amant], il a fait ce qu’il a voulu » (Sartre, 61) on a l’impression qu’elle n’a même pas compris pourquoi son amant s’est suicidé, car elle n’arrive qu’à voir ce qu’elle veut, et bien ce qu’elle doit faire pour l’avoir. On voit une situation pareille quand Hélène décide de se saouler et se faire mal afin de punir Jean. Elle utilise un homme sans se soucier de ses émotions, puis quand elle se trouve enceinte, elle décide de l’avorter, et comme Estelle, elle ne pense pas de tout à l’enfant ; ce n’est que quelque chose qui l’empêche de vivre comme elle veut.
Aussi, quand Estelle se rende compte qu’elle a besoin de Garcin, puisqu’il ne reste que lui comme homme pour la désirer, elle n’hésite pas de dire tous ce qu’il veut entendre, pour lui plaire. Elle s’en fout si Garcin est lâche, et ça l’énerve qu’il veut en parler, et elle dit « Si tu savais comme ça m’est égal » (Sartre, 80). Elle ne fait rien pour l’aider, car elle n’essaye qu’à le convaincre de la désirer. Hélène est similaire, et comme Jean dit, « Pour ne pas [s’] ennuyer, [elle] n’hésite pas à empoisonner trois personnes » (Beauvoir, 95). Il parle du fait qu’elle a menti à Madeleine, Paul et Jean et détruit leur soirée ensemble, tout pour avoir du temps pour parler avec Jean sans les autres. Comme Estelle, elle ne voit pas les sentiments des autres, alors quand elle décide de faire quelque choses, c’est simplement ce qu’elle veut en ce moment-là.
Ensuite, dans les deux livres il y a l’idée qu’on doit se définir. Estelle dit plusieurs fois qu’elle a besoin des miroirs pour se reconnaître. Elle dit « quand je ne me vois pas, j’ai beau me tâter, je me demande si j’existe pour de vrai » (Sartre, 44). Pour se sentir qu’elle a de la valeur, elle a aussi besoin d’être regardée par les hommes. Alors, elle a toujours besoin de Garcin, mais jamais d’Inès, qui « ne compte pas » (Sartre, 74) car elle est une femme. Hélène aussi doit se définir, et la première fois qu’elle y pense, elle n’est pas contente, et pour se consoler elle va tout de suite à son miroir, ou elle regarde ses yeux et son visage avec « un peu d’exaltation » (Beauvoir, 56). Bien qu’elle se sent mieux quand elle peux se voir, cela ne dure pas longtemps, car elle, comme Estelle, ne peut pas être satisfaite avec elle-même sans un homme. Et pour elle, cet homme doit être Jean, car elle croit que Jean a le pouvoir de la définir, et donner un sens à sa vie. Elle se fâche quand Jean ne l’aide pas, et elle dit « Ça vous est égal que je croupisse dans ma peau sans savoir que devenir » (Beauvoir, 75). C’est à dire qu’elle croit que c’est la responsabilité de Jean de s’occuper de l’essence d’Hélène, elle ne peut rien faire sans lui. Plus tard, elle va même plus loin quand elle dit « Je n’existe pas pour lui. Je n’existe pas du tout » (Sartre, 101). Ces deux femmes, bien qu’elles ont des vies vraiment différentes, font des choses qui me font croire qu’elles sont faites de la même essence.