Tuesday, April 6, 2010

Le theme de l'amour dans L' Amant

Nous sommes tous unanimes que si on devait classifier les thèmes par ordre croissant, le thème de l’amour occuperait le sommet. Qu’est-ce que l’amour? L’amour selon le dictionnaire français désigne un sentiment d’affection et d’attachement envers un être ou une chose, qui pousse ceux qui le ressentent a rechercher une proximité, pouvant être physique, spirituelle ou même imaginaire, avec l’objet de cet amour, et a adopter un comportement particulier (plus ou moins…)
A l’image de beaucoup d’écrivains, Duras, dans l’Amant, traite le thème de l’amour avec particularité est cher a tout individu, chaque jour des milliers gens à travers le monde, quelque soit leur classe d’âge: hommes, femmes et jeunes conjuguent le verbe aimer différemment selon les relations avec la personne. Cette thèse s’applique bien au roman de Duras dans lequel, ce thème est vue sous plusieurs aspects et varient énormément selon les relations des personnages. Duras aborde cette question en le plaçant au cœur de son livre toutefois elle donne plusieurs formes d’amour dans son œuvre.
De prime abord le chinois et la narratrice sont deux personnages, de cultures et de réalités différentes nouent une relation amoureuse ou ils trouvent leur épanouissement dans la jouissance sexuelle. Cette dimension charnelle de l’amour intéresse l’écrivaine à tel point que le personnage féminin de Duras éprouve des douleurs pendant l’acte sexuel. Conséquemment, on voit que cet amour est basé d’une part sur des échanges sexuels et le désir d'une relation intense. Il y a sans doute, la réciprocité de leur amour cependant leurs motivations sont diamétralement opposées pour preuve Duras crée deux catégories de personnages qui ont plusieurs différences comme l’illustre la série d’exemples dans l’Amant : l‘âge, le statut social, les expériences. La preuve irréfutable la jeune fille est séduite par l’exotisme du chinois et s’intéresse au matériel tandis que le chinois en réalité, il n’a que des tendances sexuelles. Toutefois, la jeune fille à travers les rapports exprime sa féminité par contre le chinois affirme sa masculinité. Par delà, de cet aspect, ils symbolisent la liberté en ce sens que de prime abord ils sont tous des célibataires, ils s’aiment, s’attachent et éprouvent les mêmes sentiments : la joie, le désir, la tendresse et l’attrait.
Totalement différent de l’amour romantique, l’amour filial existe entre la mère et son fils. Il traduit l’affection qui les lie d’où l’attachement du premier a ce dernier et malgré les défauts du fils aîné par rapport aux autres enfants, elle le préfère, l’aime et le protège. Donc on voit que la mère aime intensément son fils ainé. Ici Duras met l’accent sur la relation mère et fils: ces deux personnes sont liées par le cordon ombilical et il serait vraiment ingrat de la part de la mère de ne pas aimer en dépit de toutes les souffrances qu’elle a subies. Cette thèse durassienne s’applique bien à la vie de tous les jours partout on voit des femmes, des mères qui protègent leurs enfants. Cette mère aurait pu ne pas attacher beaucoup d’amours à son fils mais elle le fait par devoir moral.
Nous décelons
A l’image du titre du roman, le verbe Aimer demeure constant dans cette œuvre, a la différence de ces deux différentes amours abordées précédemment, on peut affirmer avec certitude que la narratrice éprouve de l’amour pour Hellène Lagonnelle car le corps de cette dernière lui procure le bonheur, l’attrait, le désir. C’est ce corps d’Hélène Lagonnelle incomparable …Rien n’est plus extraordinaire que cette rotondité extérieure de seins90
De plus dans l’œuvre, il y a l’amour entre le personnage principal du roman et son petit frère. Cela s’explique par le fait que ces deux personnes partagent le même sang, la même mère et de même père. Donc ils sont unis par beaucoup de choses et en plus de cela, ils ont partage des moments de joies ensembles : On était des enfants rieurs, mon petit frère et moi, rien a perdre le souffle, la vie 78. Plus loin, le personnage principal affirme que : Qu’il m’embrassait comme il m’aimait très fort71

En somme, dans cette œuvre Duras met l’accent sur le thème de l’amour pour montrer les différentes formes d’amour qui




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La quête de l'identité dans Un aller simple

En lisant Un aller simple, je me demandais pourquoi Van Cauwelaert avait choisi Aziz, ‘un marseillais de cœur, d’accent et de naissance’ (p45) pour véhiculer son message qui pour moi porte sur la signification et l’importance de l’identité.
Aziz, un enfant volé (donc sans repères avec des racines inconnues) et Jean Pierre un attaché humanitaire qui a renié ses racines sont deux personnages principales qui à première vue sont très différents et pourtant leurs deux identités vont fusionner pour ne faire qu’une à la fin du roman.
Alors en quoi est-ce que ces deux personnages sont-ils différents ?
Aziz ne connait pas ses parents et pendant toute son enfance, il rêve de les voir enfin. Pendant toute sa vie parmi les Roms, Aziz a des problèmes d’intégration. Il a grandi parmi les gitans mais c’est évident qu’il est un intrus dans cette communauté. Il se fait une fausse carte d'identité marocaine, peut être parce qu’il veut rester neutre ou peut-être parce que les Tsiganes n’ont pas de nationalité (ce qui m’emmène à demander si les Tsiganes ont une identité car au 1er jour de la classe, on avait défini la nationalité comme importante pour l’identité). Donc Aziz vit chez les Tsiganes avec une carte d’identité marocaine et ne choisit pas son camp quand les Beurs et les Tsiganes se rencontrent. Il n’est pas vu comme un des membres de la communauté non plus car les frères Lila ne veulent pas la voir mariée à lui. Ce qui m’emmène à dire que Aziz n’est que toléré dans la communauté où il vit.
Jean-Pierre a lui renié ses origines qui lui faisait trop honte. En ayant abandonné son village natal, il perd ses repères et ses rêves aussi, d’où son acharnement à vouloir coûte que coûte retrouver Irghiz, une vallée dont Aziz se réclame, même si Jean-Pierre sait que Irghiz n’existe pas ou du moins pas comme Aziz le décrit.
Irghiz devient comme un bout de rêve que les deux personnages se partagent. Née dans l’imagination d’Aziz, cette vallée imaginaire va prendre forme dans les écritures de Jean-Pierre. Si Irghiz donne à Aziz le sentiment d’avoir un chez-soi, il redonne à Jean-Pierre le goût de rêver, de réécrire, de retrouver un amour perdu.
L’imagination et la volonté mènent les deux protagonistes à retrouver l’un son village natal, l’autre sa vallée imaginaire avec ‘ses platanes, ses pins souterrains et ses chevaux de la préhistoire’ (p169).
Alors où se trouve vraiment les racines et qu’est ce qui fait l’identité ?
Il a fallu à Jean- Pierre d’aller jusqu’au Maroc pour retrouver ses racines et se réconcilier avec son passé qui se trouve en France.
Pour Aziz, il a fallu que quelqu’un croit en son histoire (qui n’est qu’une pure invention de sa fantaisie) pour qu’il ait enfin un foyer (à la fin du livre, il vit dans l’ancienne chambre de Jean-Pierre, chez ses parents).
L’écriture est aussi un moyen de retrouver son identité. Il donne à Jean-Pierre l’occasion de rêver et de se rappeler qui il est vraiment. L’importance de l’écriture, Aziz l’a aussi comprit et c’est pourquoi il ne continue d’écrire l’histoire qu’a commencé Jean-Pierre, histoire qui raconte leur destin si différent et pourtant si identique.

Aziz et les ROMS

D'identité est importante dans "Un Aller Simple, en particulier pour Aziz. Aziz n'a pas vraiment d'un patrimoine ou même un vrai nom. Il est élevé par des ROMS, dans une famille qui n'était pas vraiment le sien. Il a été pris en charge, mais jamais vraiment respecté. Il n'avait pas la famille qu'il aurait dû avoir. Il ne grandit dans une culture fascinante. Il a grandi avec les ROMS. Les ROM est venu d'Inde et se sont installés dans toute l'Europe. Ils ont apporté leur culture avec leur contenu. Ils suivre les lois religieuses hindoues, mais ne sont pas hindous. Ils sont surtout connus pour leur amour de la musique, dont ils utilisent la musique pour gagner de l'argent et juste passer un bon moment. Ils ont créé un genre de musique en Europe, appelé "jazz tsigane". Ils peuvent parfois être considéré comme une nuisance dans les zones qu'ils ont installés, mais ils ont aussi contribué à les façonner. Aziz a été immergé dans cette culture, sans jamais appartenir. Il a appris à être un voleur et voleur à la tire. Aziz est un personnage intéressant. Il est un homme sans identité.

L’identité d’Aziz et Moi

Je pense qu’Aziz a lutté avec son identité. Il ne pourrait pas contrôler la situation dans laquelle il a été jeté. Il était volé avec une voiture. Il était élevé par les roms avec les papiers d’un arabe mais il n’est ni l’un ni l’autre. Quand le gouvernement français a exclu Aziz, Aziz est devenue marocain. Il a crée son identité d’un Irghiz mais ce n’est pas un existence vrai et il est perdu. Ce livre m'a incité à penser de mon identité. Je pense que beaucoup de mon identité est affecté par mon environnement mais seulement l’identité que je partage avec les autres. Je sauve mon identité vrai pour moi-même et peu d’autres. Je pense que famille, lieu, et éducation a influencé mon identité la plus mais je l’ai crée.

Monday, April 5, 2010

Un Aller Simple

Un Aller Simple a beaucoup de stéréotypes pour les immigres particulièrement les immigres viennent d’Afrique du Nord. Il utilise l’histoire d’Aziz de montrer les tensions entre les Français et Les Africains du Nord. Le titre est la première chose qui indique un problème. C’est traduit comme « A One Way Ticket » en anglais. C’est une expression n’est pas bonne. Quand tu n’aimes pas une personne, tu veux donner un aller simple. Je pense que Didier Van Cauwelaert utilise ce titre pour décrire les émotions de gouvernement et les gens français. Un autre stéréotype est Les Africains de Nord volent toutes les choses. Aziz vole des voitures pour gagner sa vie. Ce n’est pas une explication pourquoi il vole des choses. C’est un travail normal pour un immigre d’âpres les Français. À mon avis, Didier Van Cauwelaert n’explique pas la vie d’Aziz parce qu’il est facile de croire sans une passée qu’il vole les choses. C’est simplement parce qu’il est un immigre. Le prochain stéréotype est la vie des romanos. La peinture des romanos ne sont pas bons dans l’histoire. Il y a beaucoup de stéréotypes. Ils volent les autos pour gagner sa vie. De plus, ils volent un grand nombre des autos parce qu’il y a des spécialistes dans les autos spécifiques. J’ai l’impression que les romanos vivent dans un village ensemble où beaucoup d’étrangers n’acceptent pas. Par exemple, Aziz n’accepte pas par les frères de Lila parce qu’il n’est pas un romano. Didier Van Cauwelaert écrit Un Aller Simple parce qu’il peut montrer les stéréotypes des immigres et le système par le gouvernement sont stupides. Il écrit très sérieux l’histoire d’Aziz sans beaucoup de politiques, mais il dit les choses importants sous lignes de l’histoire. Quand un lecteur lit l’histoire, on pense que c’est une fabrication. On pense que le système est ridicule et on connait les stéréotypes ne sont pas vrais. Didier Van Cauwelaert lance les stéréotypes des immigres dans les visages des gens. Le titre dit les opinions des Français envers les immigres clairement. L’histoire d’Aziz montre la stupidité du système français pour les immigres et les stéréotypes des Français pour les immigres.

Sunday, April 4, 2010

"Un Aller Simple" Didier van Cauwelaert

« J’ai commence dans la vie comme enfant trouve par erreur. » (p. 5) Avec cette phrase le roman de Didier van Cauwelaert « Un aller simple » commence. Cette phrase est intrigante et intéressante. La vie de « Ami6 » de race Citroën passe chez les Tsiganes. Aziz a reçu son nom en souvenir de seul survivant du véhicule. Il grandit dans la banlieue marseillaise, partage entre la culture gitane de sa famille d’adoption et les traditions arabes que son nom lui impose. « Je me trouvais donc à Marseille en qualité de Marocain provisoire, avec permis de séjour payable à chaque renouvellement. » (p. 8) Il est désespéré parce qu’il ne sais pas ses origines. « Moi je suis là et je me tais. Je hoche la tête, par respect ; j’ai l’esprit ailleurs. Je n’aime pas d’où viennent les autres. Je veux bien être sans histoire, à part l’Ami 6, mais ça me fait mal d’être. » (p 10) Il y a une personne dans sa vie qui était triste quand Aziz a quitté l'école « parce que j’avais l’envie d’apprendre » M. Giraudy, le professeur de géographie, l’a donné un atlas qui s’appelait Légendes du monde.(p. 11) Cet atlas est une espoir pour Aziz, ou comme il dit « et peu à peu, je crois, le vieux livre rouge et or, tout corne, tout effiloche d’avoir été si lu, devenait mon vrai pays, mon pays d’origine. » (p. 17) à grâce du gouvernement de la France il a chance d’aller son pays d’origine accompagné avec l’attache humanitaire. Mais il n’est pas marocaine, il n’est pas gitan, alors qui est il ? Quelles sont ses racines ? Ces questions deviennent plus importantes pour lui et en cherchant des réponses il commence un voyage incroyable avec deux gens qui sont perdus dans la vie aussi. Ce roman est poignant et intéressant avec un fin triste à mon avis, mais je me suis amusée beaucoup.

Saturday, April 3, 2010

Denise

En continuant mon analyse des femmes dans Le sang des autres, j’arrive enfin à Denise, la femme de Marcel. Je trouve que Beauvoir utilise Denise (comme toutes les femmes dans le livre), pour montrer la situation des femmes dans la société au lecteur. Dans l’histoire de Denise on trouve des aspects de ce que Beauvoir pense des femmes, et du mariage. Au début, on voit Denise comme une jeune fille avec la joie de vivre, qui est passionnée et qui n’a pas peur de travailler pour ce qu’elle veut. Elle « aime les valeurs sûres » (Beauvoir 81), et elle en trouve chez Marcel, parce qu’il est doué comme peintre. Alors, quand elle décide d’être avec Marcel, elle le poursuit, jusqu’à ce qu’ils se marient. Là, on voit une similarité avec Hélène, qui poursuit Jean dans la même façon. Pourtant, bien Denise réussit à avoir l’homme qu’elle veut, ça ne se passe pas bien pour elle. Une fois mariée à son peintre doué, elle se retrouve complètement à la merci de ses envies à lui. Quand il ne fait plus des peintures, et ils deviennent pauvres, elle ne peut pas changer cela, et quand il ne fait plus rien du tout avec sa vie, elle ne peut rien non plus. Cette femme qui avait tant d’envie de faire des choses dans le monde se trouve inutile, toujours en train de se noyer dans les problèmes de Marcel. Je crois que cette image nous montre l’avis de Beauvoir sur le mariage. Elle a dit, « dans la société telle qu’elle est, la femme est plus ou moins la servante de l’homme. » Bien que Marcel ne veuille aucun mal à Denise, on voit que sa vie à elle tourne autour de lui, et qu’elle ne peut rien faire à cause de ses caprices. En la décrivant, Jean dit qu’elle est, « Loyale, intelligente, courageuse. Mais une secrète disgrâce rendait vaines toutes ces vertus » (Beauvoir 82). Je crois que d’après Beauvoir, c’est le fait qu’elle s’est mariée, et qu’elle n’est rien sans Marcel, qui l’a rend inutile.